Comment trouver une fuite d’eau sur un toit dans le Loiret ?
Lorsque vous avez une fuite d’eau sur votre toit, il est important de trouver l’origine et de la réparer rapidement afin d’éviter des dégâts plus
Vous souhaitez éliminer les mousses, lichens et champignons de votre toiture ? L’Art du Toitest spécialisé dans le nettoyage de toiture à Boynes et le traitement de surface sans altération. Nous utilisons des solution de nettoyage respectueuse de l’environnement. N’hésitez pas à nous poser vos questions sur le nettoyage de toiture si vous en avez.
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Faire l’entretien du toit à Boynes s’avère être une intervention à ne pas négliger. C’est un moyen de préserver la commodité, mais certainement et également les matériaux qui forment le toit. A l’aide d’un personnel qualifié dans le métier, L’Art du Toit intervient dans les projets de nettoyage de toit et vos travaux de couverture à Boynes ainsi que dans le département des Loiret. Dans ce cas, si vous êtes logé aux environs, vous pouvez profiter du déplacement gratuit de nos agents. Nous fournissons en effet des travaux impeccables quel que soit le type de votre toit.
Le démoussage de toiture est nécessaire parce qu’annuellement, les mousses, les algues et les lichens peuvent s’amasser sur votre bâtiment et ce n’est pas très esthétique. De plus, ces plantes parasitaires risquent de ternir à la qualité de votre toiture en entrainant des intrusions d’eau ou bien des failles de toit. N’oubliez pas que le nettoyage des toitures à Boynes devrait s’effectuer une fois l’an, quel que soit votre type de revêtement de toit. Si vous possédez des tuiles comme matière de revêtement, le mieux serait de faire le démoussage deux fois annuellement.
Dès que les mousses et les autres plantes parasitaires ont infesté votre toit, ces espèces pourront ternir la qualité de votre édifice. Dans le cas où vous ne faites pas les entretiens convenables, votre toit risque de rencontrer des problèmes d’intrusion d’eau voire de fuite de toit, par exemple. Quand nous faisons le nettoyage des toitures à Boynes (45300), nous réalisons un traitement anti-mousse du toit. Cette tâche consiste à mettre un traitement fongicide ou bien algicide sur la toiture pour que les mousses soient totalement et directement exterminées. Rappelez-vous que le démoussage de toit doit être effectué tous les 5 ans. Cela se réalise à l’aide de différents produits
Vous avez un revêtement en tuiles ? Cette matière est extrêmement vulnérable à l’attaque des lichens, des mousses et des algues. Si vous avez envie d’avoir une belle toiture durant toute l’année, le nettoyage et le démoussage de tuiles devront être fait deux fois par an. Nous réaliserons les services grâce à un dispositif de vaporisation, d’un nettoyeur à pression, par exemple. Nous savons le traitement adapté à ce genre de revêtement. Pour avoir un résultat nickel, évitez de nettoyer vous-mêmes vos tuiles. Pourquoi ne pas contacter un charpentier couvreur qualifié à Boynes comme L’Art du Toit ?
Par conséquent, peu importe si c’est pour faire le démoussage de vos toits ou encore pour le nettoyage de vos toits, nos équipes de spécialistes pourront réaliser les projets d’étanchéité comme la finition par injection hydrofugée ou alors la finition par injection hydrofugée .Nous pouvons aussi assurer les revêtements d’étanchéité colorés.
Boynes (orléanais Bouène) est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire. Les habitants se nomment les Boynots et Boynottes.
La commune de Boynes se trouve dans la quadrant nord du département du Loiret, dans la région agricole du Gâtinais riche,. À vol d’oiseau, elle se situe à 41,3 km d’Orléans[4], préfecture du département, à 9,8 km de Pithiviers, sous-préfecture, et à 9,8 km de Pithiviers, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Beaune-la-Rolande[3] dont elle est éloignée de 7,6 km.
Les communes les plus proches sont : Givraines (3,2 km), Barville-en-Gâtinais (3,3 km), Yèvre-la-Ville (3,9 km), Courcelles-le-Roi (4 km), Gaubertin (4,7 km), Batilly-en-Gâtinais (5,4 km), Saint-Michel (5,9 km), Nancray-sur-Rimarde (6 km), Égry (6,1 km) et Bouilly-en-Gâtinais (6,3 km).
La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l’ère géologique la plus récente sur l’échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d’années. La formation la plus ancienne est du calcaire de Pithiviers remontant à l’époque Miocène de la période Néogène. La formation la plus récente est des limons et lœss remontant à l’époque Pléistocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°328 – Pithiviers » de la carte géologique au 1/50 000 du département du Loiret[9][10] et sa notice associée.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 15,43 km[12][Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 15,45 km[10]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 18 mètres. L’altitude du territoire varie entre 105 m et 123 m.
Boynes appartient à une famille comprenant Beine, Baynes, Beynes et Bennes. Ces toponymes font référence à une forêt. En Picardie, la forêt de la Beine (à Prunay) s’écrivait Bosco de Boyne en 1223. Le nom est issu du celtique bagina, la hêtraie. Le gaulois Bagos, le hêtre, en découle, et a généré le nom des forêts et villages précédemment cités).
Boynes fut la capitale européenne du safran jusqu’au début du XX siècle.
Le château de Mousseaux, aujourd’hui disparu, était situé sur la commune de Boynes. Il fut la résidence de Pierre Étienne Bourgeois de Boynes, secrétaire d’État à la Marine de Louis XV.
résidence du père du Maréchal Alexandre Berthier, Jean-Baptiste Berthier et de la seconde épouse Françoise Chéron, Gouverneur des Hôtels de la Guerre de la Marine et des Affaires Etrangères à Versailles, ingénieur géographe en chef des armées du Roi, ordre de St Michel.
La merlette est une alouette, consommée jadis dans la région, et les fleurs de crocus sont des fleurs de safran.
Boynes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Pithiviers, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20][21].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,8 %), zones urbanisées (6,2 %).
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
La commune de Boynes est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses . Entre 1989 et 2019, un arrêté ministériel ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle a été pris pour le territoire de la commune pour des inondations et coulées de boues[24].
Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.
Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. La plus grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa « faible » face à ce risque, hormis une poche au nord du bourg en aléa « moyen », selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[27].
Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[24].
La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d’un itinéraire structurant supportant un fort trafic (l’autoroute A19),.
La paroisse de Boynes acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[31]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.
Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n’a affecté la commune depuis sa création.
La commune est membre de la Communauté de communes de Beauce et du Gâtinais depuis sa création le jusqu’au .
La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe) vise une réduction du nombre d’intercommunalités en France en faisant passer le seuil démographique minimal de 5 000 à 15 000 habitants, sauf exceptions. Le schéma départemental de coopération intercommunale du Loiret est arrêté sur ces bases le et le nombre d’établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre passe dans le département du Loiret de 28 (2 communautés d’agglomération et 26 communautés de communes) à 16 (deux communautés d’agglomération et 14 communautés de communes dont une interdépartementale). Les communautés de communes de Beauce et du Gâtinais, du Cœur du Pithiverais et du Plateau Beauceron fusionnent ainsi à compter du en une seule entité : la communauté de communes du Pithiverais, dont le siège est à Pithiviers. Cette nouvelle intercommunalité comprend 31 communes dont Boynes.
Sous l’Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Boynes était rattachée sur le plan ecclésiastique à l’ancien diocèse d’Orléans, sur le plan judiciaire au bailliage de Yèvre-le-Châtel, sur le plan militaire au gouvernement d’Orléans et sur le plan administratif à la généralité d’Orléans[38].
La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Boynes est alors incluse dans le canton de Boynes, le district de Pithiviers et le département du Loiret.
La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[41]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[43], puis l’acte III en 2012-2015.
Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Boynes aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.
La commune de Boynes est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.
Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Boynes, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[60]. Il est composé de 15 membres. L’exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.
Au 31 décembre 2016, la commune est membre du SITOMAP de la région Pithiviers, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[64]. Un réseau de huit déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche de la commune est située sur la commune de Pithiviers.
L’élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées dans l’outil de traitement appelé BEGEVAL, installé à Pithiviers et géré par le syndicat de traitement Beauce Gâtinais Valorisation (BGV) qui regroupe le territoire des trois syndicats de collecte : SMETOM, SITOMAP et SIRTOMRA. Cet outil est composé d’un centre de valorisation matière qui trie les emballages issus de la collecte sélective, les journaux-magazines et les cartons de déchèteries, et d’un centre de valorisation énergétique qui incinère les ordures ménagères résiduelles et le tout-venant incinérable des déchèteries ainsi que les refus du centre de tri[67].
Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes du Pithiverais en application de la loi NOTRe du [68].
Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. Au , la production de l’eau potable sur le territoire communal est assurée par le SI PEP BEGY, un syndicat créé en 2007 desservant quatre communes (Boynes, Estouy, Givraines, Yèvre-la-Ville)[70][71], et la distribution par la commune elle-même. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l’exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes,.
La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est assurée par la commune elle-même[76]. La commune est raccordée à une station d’épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 1 500 EH, soit 225 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d’épuration biologique dit « à boues activées »,.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. La Communauté de communes de Beauce et du Gâtinais a créé en 1999 un service public d’assainissement non collectif (SPANC) qui a pour missions la vérification de la conception et de l’exécution des ouvrages pour les installations neuves ou réhabilitées et la vérification périodique du bon fonctionnement et de l’entretien des installations existantes[80][81]. Depuis le , c’est la communauté de communes du Pithiverais qui assure ce service, à la suite de la fusion des communautés de communes de Beauce et du Gâtinais, du Cœur du Pithiverais et du Plateau Beauceron.
Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.). L’observatoire national des services d’eau et d’assainissement publie la description actualisée des services publics d’eau potable et d’assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[83]. Le prix au m est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE).
Début 2021, la ville de Boynes devient l’une des premières communes françaises à se doter d’une solution de télémédecine pour lutter contre le manque de médecins sur son territoire. Un cabinet de téléconsultation installé par la start-up Healphi permet aux infirmiers locaux de prendre en charge les patients via le recours à des instruments médicaux connectés (stéthoscope, otoscope, etc…).
Le médecin distant peut alors poser son diagnostic et émettre une ordonnance, participant ainsi à faciliter l’accès aux soins.
Pour obtenir un rendez-vous, les patients peuvent joindre le cabinet de télémédecine par téléphone ou prendre rendez-vous en ligne.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[98].
En 2020, la commune comptait 1 326 habitants, en augmentation de 0,15 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
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