Couvreur Sully-sur-Loire (45600)

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Comme vous devez le remarquer, les toits peuvent se diffèrent entre eux à Sully-sur-Loire ou dans la région Centre-Val de Loire. Néanmoins, il faut en occuper pour prévenir d’éventuels désagréments.

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Montage d’Ardoise, Tuile & Zinc Sully-sur-Loire

réparation de tuiles sur toit et pose à Sully-sur-Loire

L’eau reste le pire ennemi d’un édifice quel qu’il soit à Sully-sur-Loire. Une fois qu’elle a commencé à s’infiltrer, elle va pénétrer chaque pièce, béton, bois et les briques et les dommages. Pas toujours très visibles à l’origine pourront des fois être très importants à terme.
De plus posséder une couverture toujours en meilleur état est indispensable. Une fixation de tuile, fabriquée en zinc ou ardoise, ainsi que leur changement si elles sont endommagées est donc primordiale. L’Art du Toit propose aussi des services de Sully-sur-Loire car celle-ci sont toutes aussi importante à entretenir.

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nettoyage et démoussage de toiture à Sully-sur-Loire

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À propos de Sully-sur-Loire

Sully-sur-Loire est une commune française située dans le département du Loiret, en région Centre-Val de Loire.

La commune est située dans le périmètre du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. La ville constitue la porte d’entrée « est » de la zone classée.

La commune de Sully-sur-Loire se trouve dans le quadrant sud-est du département du Loiret, dans la région agricole du Val de Loire et l’aire urbaine de Sully-sur-Loire[3]. À vol d’oiseau, elle se situe à 38,0 km d’Orléans, préfecture du département.

Les communes les plus proches sont : Saint-Père-sur-Loire (1 km), Bonnée (3,8 km), Saint-Aignan-le-Jaillard (5,4 km), Les Bordes (5,9 km), Viglain (6,7 km), Saint-Benoît-sur-Loire (7 km), Bray-en-Val (7,1 km), Ouzouer-sur-Loire (8 km), Guilly (8,4 km) et Saint-Aignan-des-Gués (9,3 km).

Brosse ; Grand-Pont ; le Bourg d’Oiseaux.

Sully-sur-Loire se situe dans la moitié sud du Bassin parisien.

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l’ère géologique la plus récente sur l’échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d’années. Les plus anciennes sont des sables et argiles de Sologne remontant à l’époque Miocène de la période Néogène. Les plus récentes sont des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°399 – Châteauneuf-sur-Loire » de la carte géologique au 1/50 000 du département du Loiret[7][8] et sa notice associée.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 43,6 km[10][Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 43,74 km[8]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 44 mètres. L’altitude du territoire varie entre 107 m et 151 m.

La commune est située dans la zone de protection spéciale vallée de la Loire du Loiret du réseau Natura 2000.

Sully-sur-Loire possède un climat tempéré de type océanique dégradé se caractérisant par des hivers doux (3 à 4 °C) et pluvieux, et des étés frais (16 à 18 °C) et relativement humides. La température moyenne est de 10 à 11 °C sur l’année.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones Spéciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection Spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s’engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d’habitats et d’espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L’objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés,. Les sites Natura 2000 présents sur le territoire communal de Sully-sur-Loire sont au nombre de trois[INPN 1].

Le site de la « Vallée de la Loire de Tavers à Belleville-sur-Loire », d’une superficie de 7 120 ha, concerne 51 communes. La délimitation de ce site Natura 2000 est très proche de celle correspondant à la Directive Oiseaux. L’intérêt majeur du site repose sur les milieux ligériens liés à la dynamique du fleuve, qui hébergent de nombreuses espèces citées en annexe II de la directive Habitats.

La ZSC « Sologne », d’une superficie totale de 346 184 ha, constitue une vaste étendue émaillée d’étangs, située en totalité sur les formations sédimentaires du burdigalien. L’agriculture est en recul et on observe une fermeture des milieux naturels (landes). Plusieurs ensembles naturels de caractère différent se distinguent sur ce site :

Le site de la « Vallée de la Loire du Loiret » s’étend sur 7 684 ha et concerne la vallée de la Loire dans le Loiret. Cette ZPS se poursuit en amont et en aval sur les départements voisins. L’intérêt majeur du site repose sur les milieux et les espèces ligériens liés à la dynamique du fleuve. Ces milieux hébergent de nombreuses espèces citées en annexe I de la directive Oiseaux. Le site est caractérisé par la présence de colonies nicheuses de sternes naine et pierregarin et de mouette mélanocéphale. Des sites de pêche du Balbuzard pêcheur sont également présents. Le site est également lieu de reproduction du bihoreau gris, de l’aigrette garzette, de la bondrée apivore, du milan noir, de l’œdicnème criard, du martin-pêcheur, du pic noir, de la pie-grièche écorcheur.

L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Sully-sur-Loire comprend trois ZNIEFF.

Le château est mentionné dès 1102, il contrôlait un pont sur la Loire qui disparut dès le XIV siècle. Il n’a appartenu au cours des siècles qu’à trois familles : les premiers seigneurs de Sully, la famille de la Trémouille, et la famille de Béthune[21].

En 1218, Philippe Auguste fit bâtir une tour maîtresse.

En 1396, Gui VI de La Trémoille lance la construction du château actuel, Raymond du Temple (architecte du roi et du duc d’Orléans) en dresse les plans.

La ville a beaucoup souffert de bombardements au cours de la Seconde Guerre mondiale. L’après-guerre voit un renouveau économique, avec notamment la présence d’une usine de l’industrie automobile aux propriétaires successifs Talbot puis Peugeot employant près de 1 100 personnes en 1979, mais qui ferme ensuite en 1985.

Le pont existait dès le X siècle mais a été détruit et reconstruit à plusieurs reprises. La première mention du pont remonte à 1189 quand Archambaud de Sully fait donation à une abbaye des péages qu’il possédait, en particulier sur le pont[22]. Le premier a été submergé par une crue de la Loire en 1363. Le pont de 1836, détruit à cause de la crue de 1856, est reconstruit en 1859. En 1870 et 1932 il est l’objet de reconstructions. Durant la Seconde Guerre mondiale il est détruit à deux reprises. Le 15 juin 1940 l’aviation italienne le bombarde et il est ensuite détruit par l’armée française lors de sa retraite. L’ouvrage reconstruit en 1941 est de nouveau détruit lors d’un bombardement par l’aviation alliée en juin 1944. Réparé en 1947, il était considéré comme un des plus beaux ponts suspendus de France. Au cours d’un hiver rigoureux, la rupture d’un câble de suspension entraîne la chute de la totalité du tablier le . Ce jour-là, par −15 °C, le gel fait rompre le câble alors qu’un camion, des voitures et un cycliste traversent le pont. Heureusement, on ne déplore aucune victime ; par précaution, d’autres ponts sur la Loire sont interdits le jour même aux poids lourds. Le tablier du pont, long de 413 mètres, avait pourtant été inspecté en 1982. Les piles seront ensuite démolies pour permettre la construction d’un nouveau pont qui abandonne le principe de pont suspendu.

Sully-sur-Loire est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Sully-sur-Loire, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[27] et 11 969 habitants en 2017, dont elle est ville-centre,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Sully-sur-Loire, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30][31].

L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,7 %), forêts (23,9 %), prairies (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), eaux continentales (6,1 %), zones urbanisées (6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,7 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[32].

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].

La commune prescrit l’élaboration d’un plan d’occupation des sols en septembre 1975. Le document est approuvé en mars 1983 puis révisé en décembre 1988 et en février 2001.

La loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains du 13 décembre 2000, dite loi SRU, complétée par la loi urbanisme et habitat du 2 juillet 2003, marque une évolution de la planification urbaine en créant notamment les plans locaux d’urbanisme (PLU), vecteurs de projets de territoire, appelés à se substituer progressivement aux plans d’occupation des sols. Le PLU contient deux éléments nouveaux par rapport au POS : le plan d’aménagement et de développement durable (PADD), qui exprime le projet de la ville par des orientations générales en matière d’urbanisme, de développement, d’équipement et de préservation de l’environnement et les orientations d’aménagement et de programmation (OAP) qui correspondent à des zooms qui peuvent porter sur des quartiers ou secteurs à mettre en valeur, réhabiliter, restructurer ou aménager, ou sur l’aménagement d’un espace public, etc. Dans ce cadre le conseil municipal prescrit la révision du Plan d’occupation des sols et sa transformation en plan local d’urbanisme le 28 juillet 2005. Le document est approuvé le 19 février 2009,.

La commune est membre du Pays Sologne Val-sud, qui regroupe 29 des communes de la Sologne du Loiret. Ce pays impose un certain nombre de contraintes, que les documents d’urbanisme doivent respecter en étant compatibles avec les documents d’orientations du Pays. Le pays a notamment élaboré une charte architecturale et paysagère en 2005.

En 2012 les Pays Forêt d’Orléans Val de Loire, Loire Beauce et Sologne Val Sud sont les seuls territoires du département du Loiret ne disposant pas de schéma de cohérence territoriale (SCoT). Compte tenu de l’intérêt de cet outil pour l’avenir des territoires, les élus de ces pays décident d’engager une démarche d’élaboration de SCOT. Le comité syndical du Pays Sologne Val Sud se prononce majoritairement en mars 2013 pour prendre la compétence SCoT dans ses statuts. Les quatre communautés de communes qui composent le Pays délibèrent en avril et mai 2013 pour confier « l’élaboration, la gestion et le suivi du SCoT » au Pays Sologne Val Sud. Les compétences sont modifiées en ce sens en juin 2013[37], le périmètre du SCOT est arrêté par le préfet le 10 octobre 2013. Après étude et concertation de 2014 à 2017, le document doit être approuvé en 2018.

La commune est traversée par cinq routes départementales : la RD 948, la RD 951, la RD 59, la RD 120 et la RD 320.

La RD 951, qui constitue une des deux artères principales de la commune, est l’ancienne route nationale 751, qui avait été créée en 1933 et était définie comme la route de Cosne-sur-Loire à la pointe de Saint-Gildas par la rive gauche de la Loire. La section traversant le Loiret, reliant Beaulieu-sur-Loire à Lailly-en-Val, a été transférée au département du Loiret par arrêté du 22 décembre 1972[40]. En 2014, elle supporte sur le territoire communal un trafic de 3 903 véhicules/jour à l’ouest du bourg et de 1 989 à l’est.

La RD 948 constitue la deuxième artère principale de la commune et traverse le bourg dans le sens nord-sud sous la dénomination Route de Cerdon. Il s’agit de l’ancienne RN 448, créée en 1933 et définie comme la route de Villeneuve-Saint-Georges à Argent-sur-Sauldre par Malesherbes. La totalité de la section dans le Loiret, reliant Malesherbes à Cerdon, a été transférée au département du Loiret par arrêté du 22 décembre 1972[40]. En 2014, elle supporte dans la section traversant la commune un trafic de 1 650 véhicules/jour.

Les RD 59, 120 et 320 sont des routes à faible trafic. Elles supportent respectivement 1 027, 765 et 542 véhicules/jour. Les deux premières relient la commune respectivement à Isdes et à Sennely. La RD 320 quant à elle relie Viglain à Saint-Aignan-le-Jaillard[41].

Complétant ces voies, la commune est sillonnée de plusieurs voies communales et chemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.

En 2016, la commune est desservie par trois lignes du réseau Ulys, le réseau interurbain de transport par autocar du Conseil départemental du Loiret : La ligne 12 qui relie Dampierre-en-Burly – Ouzouer-sur-Loire – Sully-sur-Loire – Lorris – Montargis[44] et la ligne 3, qui relie Bonny-sur-Loire – Briare – Gien – Châteauneuf-sur-Loire – Orléans et la ligne n°7A qui relie Sully-sur-Loire – Tigy – Jargeau – Orléans[46]. Des correspondances SNCF sont assurées dans la gare d’Orléans. Des correspondances SNCF sont assurées dans les gares d’Orléans, Montargis et Gien. À compter du , la compétence des services de transports routiers interurbains, réguliers et à la demande est transférée des départements aux régions, et donc localement du département du Loiret à la région Centre-Val de Loire, consécutivement à la loi NOTRe du 7 août 2015[47].

La commune de Sully-sur-Loire est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de la Loire ou de ruisseaux), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique. Elle est également exposée à un risque technologique : le transport de matières dangereuses. Entre 1999 et 2021, cinq arrêtés ministériels portant ou ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune de Sully-sur-Loire pour des inondations et coulées de boue[49].

La Loire est à l’origine des dégâts les plus importants sur la commune en cas de crue majeure. Les crues historiques sont celles de 1846, 1856, 1866 et 1907. Aucune crue n’a atteint depuis 1907 les hauteurs atteintes lors de ces événements catastrophiques.

Le val d’Ouzouer, s’étendant sur 22 km de longueur, d’Ouzouer-sur-Loire à Châteauneuf-sur-Loire, est protégé par une levée de 22 km de long ouverte à l’aval sur 1,5 km au débouché de la Bonnée. Cette levée n’est pas submersible pour des crues du type de celle de 1856. Elle a été renforcée dans les années 2000 sur presque toute sa longueur par la mise en place d’un « masque drainant » du côté du val. À l’amont, un déversoir, dénommé déversoir d’Ouzouer, a été construit en 1886 à l’endroit où s’étaient produites des brèches lors des grandes crues de 1846, 1856 et 1866. Il a une longueur totale de 878 m dont 800 m au niveau du seuil. Il est surélevé d’un cordon de terre (banquette fusible) d’une hauteur de 1,20 mètre environ. Le val est exposé au risque d’inondation[51][52] :

Le risque d’inondation est pris en compte dans l’aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du val de Sully approuvé le 8 octobre 2001 et pour lequel une révision a été prescrite le 15 mars 2016. Le périmètre de la commune se situe pour une grande partie en dehors du val inondable. Cependant, l’espace urbanisé du territoire communal se situe pour plus des trois-quarts dans la plaine d’inondation, couvert principalement par trois secteurs d’aléas. L’aléa faible concerne des espaces urbanisés de construction plutôt récente, dont les logements du quartier du Hameau. Il comprend également le quartier industriel de la gare. L’aléa moyen est composé de quartiers d’habitation, allant des logements anciens du centre-ville aux logements plus récents des quartiers nouveaux. À proximité du centre sont notamment groupés un supermarché et un ensemble d’immeubles. Une zone d’activité industrielle est également située en aléa moyen, le long du RD 951. Le château se situe également en aléa moyen. L’aléa fort concerne le quartier Saint-Germain. Situé à proximité ouest du centre-ville, c’est le périmètre urbain le plus exposé au risque d’inondation. Il faut également souligner la présence d’une usine dans ce secteur d’aléa. L’aléa très fort occupe le lit mineur de la Loire où sont installés le camping et ses équipements. Les espaces à vocation agricole en zone inondable ne sont pas épargnés. La plaine de la Sange est en zone d’aléa fort. La plaine du Bec d’Able est en partie caractérisée par des aléas fort et très fort[54].

Deux documents permettent de définir les modalités de gestion de crise et d’organisation des secours : au niveau départemental, le Dispositif ORSEC départemental spécialisé déclenché en cas d’inondation de la Loire, le plan ORSIL, et au niveau communal le plan communal de sauvegarde[55].

Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.

Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. Toute la partie sud du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), le reste est en aléa « faible »[58].

La totalité du département est classée en zone de sismicité « très faible ». À ce titre aucune réglementation spécifique ne s’applique aux constructions dites « à risque normal »[60].

Le risque de transport de matières dangereuses peut survenir en cas d’accident impliquant une unité mobile (ex. camion) ou une canalisation transportant des matières dangereuses (toxique, inflammable…). Une matière dangereuse est une substance susceptible de présenter un danger et des conséquences graves pour l’homme et son environnement. À Sully-sur-Loire, les facteurs de risque sont le transport routier empruntant la RD 948 et le réseau de gaz à haute pression qui traverse la commune.

La paroisse et bourg de Sully-sur-Loire acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[62]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.

Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n’a affecté la commune depuis sa création.

La commune de Sully-sur-Loire n’appartient à aucune intercommunalité à fiscalité propre jusqu’en 2011 et fait partie, à cette date, des 68 communes du Loiret dites « isolées ». La commune adhère à la communauté de communes du Sullias lors de la création de cette intercommunalité le [66]. La commune appartient à d’autres établissements publics de coopération intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le découpage territorial de ces structures est en constante évolution dans une perspective de rationalisation et d’efficience des services.

Depuis le , la commune est membre de la communauté de communes du Val de Sully, issue de la fusion des communautés de communes du Sullias et de Val d’Or et Forêt, ainsi que du rattachement de la commune de Vannes-sur-Cosson[67].

Au-delà du maire, premier magistrat administrant la commune, les personnalités élues dont le mandat est relatif à une collectivité à laquelle est rattachée la commune de Sully-sur-Loire et représentant donc le territoire communal au sein de chacune de ces collectivités sont les suivantes :

Sous l’Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Sully-sur-Loire était rattachée sur le plan ecclésiastique au diocèse d’Orléans, sur le plan judiciaire au bailliage d’Orléans et au grenier à sel de Sully, sur le plan militaire au gouvernement d’Orléans et sur le plan administratif à la généralité d’Orléans.

La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Sully-sur-Loire est alors incluse dans le canton de Sully, le district de Gien et le département du Loiret.

La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[73]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[75], puis l’acte III en 2012-2015. Parallèlement l’État se réforme périodiquement. La réforme de l’administration territoriale de l’État (RéATE), entrée en vigueur au et issue de la révision générale des politiques publiques (RGPP) est une des grandes réformes visant à simplifier l’organisation de l’État.

Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Sully-sur-Loire aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.

La commune de Sully-sur-Loire est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.

Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Sully-sur-Loire, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[92]. Il est composé de 29 membres. L’exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.

Sully-sur-Loire possède le label Ville fleurie, trois fleurs lui ont été attribuées par le conseil national des villes et villages fleuris de France dans le cadre du concours des villes et villages fleuris.

En 2016, la commune est membre du SICTOM de la région de Châteauneuf-sur-Loire, créé en 1976. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[98]. Un réseau de dix déchèteries, dont une est située sur le territoire communal, accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). L’élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées par le SYCTOM de Gien-Châteauneuf-sur-Loire qui comprend un centre de transfert de déchets ménagers et un centre de stockage de déchets ultimes (CSDU) de classe II à Saint-Aignan-des-Gués ainsi qu’une usine d’incinération des ordures ménagères à Gien-Arrabloy[98].

Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes du Val de Sully en application de la loi NOTRe du [100].

Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. Au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal sont assurées par le SIVU de Sully-sur-Loire et de Saint-Père-sur-Loire, un syndicat créé en 1967 desservant deux communes (Saint-Père-sur-Loire et Sully-sur-Loire)[102][103][104].

La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l’exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[105][106].

La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est assurée par la commune elle-même[108]. La commune est raccordée à une station d’épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 9 833 EH, soit 1 725 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d’épuration biologique dit « à boues activées ». Son exploitation est assurée en 2017 par la Lyonnaise des Eaux,.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. Depuis le , la communauté de communes du Val de Sully, issue de la fusion des communautés de communes du Sullias et de Val d’Or et Forêt, ainsi que du rattachement de la commune de Vannes-sur-Cosson , assure le service public d’assainissement non collectif (SPANC). Celui-ci a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations,.

Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.). L’observatoire national des services d’eau et d’assainissement publie la description actualisée des services publics d’eau potable et d’assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[115]. Le prix au m est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE).

Sully-sur-Loire est située dans l’académie d’Orléans-Tours et dans la circonscription de Châteauneuf-sur-Loire. La commune possède une école maternelle, trois écoles primaires et un collège.

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[129].

En 2020, la commune comptait 5 141 habitants, en diminution de 5,02 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Le , le Val de Loire, dans son cours moyen de Sully-sur-Loire (Loiret) à Chalonnes-sur-Loire (Maine-et-Loire), est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l’organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) comme « paysage culturel ». Cette inscription reconnaît au site une « valeur universelle exceptionnelle » fondée sur la densité de son patrimoine monumental, architectural et urbain, l’intérêt du paysage fluvial et la qualité exceptionnelle d’expressions paysagères héritées de la Renaissance et du Siècle des Lumières. Toute altération de la V.U.E. est considérée comme une perte pour la mémoire de l’Humanité. Le préfet de la région Centre, préfet coordonnateur, approuve le plan de gestion pour le Val de Loire patrimoine mondial par arrêté en date du 15 novembre 2012[DREAL 4]. Trente-cinq communes du Loiret sont concernées, dont Sully-sur-Loire qui a une frange de son territoire inscrite et le reste en zone tampon[DREAL 6].

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