Réparation de Toiture Cepoy (45120)

Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Cepoy ? L’Art du Toit s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Cepoy dans le Loiret.

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La Remise en état de votre revêtement de toiture est notre raison d’être à Cepoy, 45120

Vous avez trouvé que votre couverture requiert une réparation à Cepoy ? Vous ne savez pas comment réparer cela ? Vous prévoyez des travaux de couverture ? Pas de panique, notre équipe est le couvreur à Cepoy qu’il vous faudra !

toiture endommagée réparé Cepoy

Nous réparons tout type de toit à Cepoy


Avant d’effectuer une réfection de toiture, notre artisan couvreur doit commencer par déterminer la source de l’usure, celle-ci peut être trop différente. Le couvreur doit alors faire une vérification visuelle de votre toiture par l’intérieur dans le but de déterminer les espaces où il n’y a pas des ardoises ou tuiles. Puis, il se rendra sur votre toit pour réaliser un constat plus précis de celui-ci. À l’issue de ce contrôle, il vous précisera la liste des travaux de rénovation de toit à qu’il peut mettre en place pour assurer son étanchéité. Ensuite, il vous fournira un devis de réparation de revêtement de toiture à Cepoy. En conséquence si vous consentez, nous pourrons débuter le chantier.

La remise à neuf de toiture sur Cepoy

 

La rénovation de toiture peut être totale au cas où elle est intégralement à renouveler. Cela peut se produire si elle est trop vieille ou après des dangers climatiques. Dans ce cas, vous devrez faire intervenir votre compagnie d’assurance. Notre établissement de toiture à Cepoy
monte un bâchage d’urgence permettant de protéger votre toiture de manière provisoire en attendant de pouvoir refaire votre toiture intégralement.

Dans le cas d’une rénovation de toiture sur Cepoy
partielle, la réparation ordinaire est le remplacement de tuiles que ce soit parce qu’elles se sont enlevées ou parce que d’autres ont été cassées. La rechange de tuiles suit une méthodologie déterminée parfaitement connue par notre artisan couvreur qui connaitra toutes les mesures adéquates pour ôter la tuile à remplacer et fixer la tuile neuve en l’intégrant d’une manière parfaite à toute la couverture de manière que le tout soit solide et imperméable.
Vous retrouverez au sommet de votre toit une ligne de tuiles dénommée faîtage. La rénovation de toit peut concerner celui-ci quand il est dégradé ou qu’il qu’il bouge en cas de vent. Notre couvreur dans la ville de Cepoy a des propositions à vous proposer afin que cela ne se reproduise plus.

Entretien des différentes parties sur votre toiture

couvreur à Cepoy réparant la toiture en tuile

Par ailleurs, à part le remplacement de tuiles, la remise en état de toit dans la ville de Cepoy
s’étend aux éléments installés sur le toit. C’est dans ce cadre que notre agence de revêtement de toiture peut mener à bien la remise à neuf d’une couche de cheminée, boucher une fuite sur cette dernière ou encore rétablir l’étanchéité lorsque celle-ci est endommagée par une mauvaise jonction entre la fenêtre de toit ou entre des panneaux photovoltaïques et la toiture. Il entreprendra tous les services de zinguerie nécessaires.
Lorsque votre toit vieillit, appelez notre entreprise de couverture de sorte que les travaux soient réalisés rapidement. Cela vous permettra d’éviter d’obtenir une facture de remise en état de toit dans la ville de Cepoy avec un tarif véritablement élevé !

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À propos de Cepoy

Cepoy est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

La commune de Cepoy se trouve dans le quadrant nord-est du département du Loiret, dans la région agricole du Gâtinais pauvre. À vol d’oiseau, elle se situe à 63,8 km d’Orléans[3], préfecture du département, à 5,3 km de Montargis, sous-préfecture, et à 3,8 km de Châlette-sur-Loing, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Montargis[5]

Les villes les plus proches sont : Girolles (2,3 km), Corquilleroy (3 km), Châlette-sur-Loing (3,8 km), Paucourt (4,4 km), Montargis (5,3 km), Pannes (6,1 km), Gondreville (6,2 km), Ferrières-en-Gâtinais (6,5 km), Villemandeur (6,5 km), Treilles-en-Gâtinais (6,7 km) et Fontenay-sur-Loing (6,9 km).

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l’ère géologique la plus récente sur l’échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d’années, et du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s’étend de −252,2 à −66,0 Ma. La formation la plus ancienne est de la craie blanche à silex remontant à la période Crétacé. La formation la plus récente est des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°329 – Château-Landon » et « n°365 – Montargis » de la carte géologique au 1/50 000 du département du Loiret[8][9] et leurs notices associées,.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 8,52 km[12][Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 8,44 km[9]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 37 mètres. L’altitude du territoire varie entre 77 m et 114 m.

Cepoy est traversée par deux voies d’eau :

Le Bourg, Montenon, Montigny Rapine, le Moulois, les Murgères, le Parc, Puy-la-Laude, le Tranchoir, les Vallées.

L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Cepoy comprend une ZNIEFF.

La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 2, dénommée forêt de Montargis, d’une superficie de 4 598 hectares, est répertoriée depuis 1985-86 pour ses intérêts écologiques et faunistiques. Elle s’étend sur 9 communes, dont Cepoy pour la frange nord-ouest de la ZNIEFF correspondant à la partie est de la commune[18]. Son altitude varie entre 88 et 133 m. Le chêne est l’essence la plus représentée, toutefois, la chênaie-hêtraie est présente sous forme de stations de faible superficie. La flore se caractérise par la présence de végétaux associés aux sols acides comme la callune (Calluna vulgaris), la violette des chiens (Viola canina) ou la myrtille (vaccinium myrtillus), et aux sols neutres à légèrement alcalins sur calcaire ou marne (Rosa micrantha, la scille à deux feuilles (Scilla bifolia), le céphalanthère à longues feuilles (Cephalanthera longifolia), le gaillet odorant (Galium odoratum)[20]. Un réseau complexe de mares (toutes ne sont pas en eau la même année) conduit à de notables déplacements d’amphibiens en période de reproduction. Le nord-est du massif est ainsi directement concerné. Le nord du massif, nettement relié à la vallée de la Clairis correspond également à un secteur de mouvements importants de mammifères grands et petits ainsi que pour l’avifaune. L’ intérêt pour les chiroptères semble s’être déplacé durant les années vers la vallée de la Clairis. La forêt de Montargis est gérée par l’Office national des forêts[21].

Avec sa position dans le Bassin Parisien et dans la vallée du Loing, la station de la Pierre-aux-Fées est l’un des sites les plus importants du Paléolithique final pour les contacts entre le nord et le sud de la plaine européenne centrale et occidentale[23]. Son occupation date du Magdalénien supérieur et final mais avec des particularités.

Bien conservée, elle a fourni une industrie lithique incluant des pointes à cran hambourgiennes, des pointes à dos anguleux très proches des pointes hambourgiennes, des perçoirs de type Zinken (les rares perçoirs très fins étant sur éclats), d’étroits grattoirs sur bout de lame à front très plat. Les silex sont façonnés par débitage laminaire de nucleus aménagés, souvent bipolaires. Il y a très peu de lamelles à dos rabattu, ce qui distingue cet ensemble du Magdalénien final. Mais il se distingue aussi du Hambourgien pur par l’absence de formes microlithiques et le fait que les grattoirs sont plus étroits et leur plan de travail plus plat que celui des grattoirs hambourgiens.
Plusieurs auteurs (Schmider, 1971[25] ; Tromnau, 1981 ; Kobusiewicz 1983 ; Allain, 1989[27]) ont proposé l’existence de contacts entre le Hambourgien et notamment le Magdalénien du Bassin parisien, sur la base de la présence régulière de pointes lithiques évoquant entre autres les pointes à cran hambourgiennes qui, dans certains inventaires, l’emportent même sur les lamelles à dos, armatures typiques du Magdalénien. L’industrie lithique du locus 7 du Tureau des Gardes (Marolles-sur-Seine) présente les mêmes caractéristique hambourgiennes que celle de la Pierre-aux-Fées[29].

La même époque a fourni une plaquette gravée représentant une tête de cheval délicatement dessinée de 4 cm de long[30].

Deux foyers de la couche IV dans le secteur 2 indiqueraient l’emplacement d’une structure d’habitat.

En 1983 la station de la Pierre-aux-Fées est en cours de fouille.

Un autre site du Paléolithique supérieur est découvert fin septembre 1974 au lieu-dit La Maison Blanche[33][34] à 2,4 km au nord[32] sur la commune de Fontenay-sur-Loing. Malgré la proximité avec la Pierre-aux-Fées, la Maison Blanche est un site du Magdalénien typique, sans tendances hambourgiennes[32].

Un peu plus éloignés, à 50 km au nord se trouvent le grand site magdalénien de Pincevent et ceux de Marolles-sur-Seine (Seine-et-Marne). Le site de Marsangy (Yonne) est à un peu moins de 50 km à l’est.

Établissement rural occupé entre le I siècle avant notre ère et le Ier siècle de notre ère.

Cepoy fut, jusqu’au milieu du XIV siècle, le siège d’un bailliage qui fut transféré à Montargis en raison de l’essor pris par cette cité, en raison de la fréquentation royale de son château.

Un relais de poste a existé jusque dans la seconde moitié du XVIII siècle au hameau de Puy la Laude, en contrebas du tracé actuel de la route nationale 7, à la lisière ouest de la forêt de Montargis.

En 1743, Cepoy fut érigée en marquisat sous Louis XV, au profit de Guillaume Bouvier de La Motte (1686-1759), petit-neveu de Madame Guyon, célèbre mystique amie et correspondante de Fénelon.

La physionomie du château de Cepoy (qui héberge aujourd’hui une école des Compagnons du devoir), date à peu près de cette époque, la construction d’origine, datant du règne de François I, ayant été fortement remaniée.

La gare de Cepoy sur la ligne de Moret – Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache est mise en service vers 1888 par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM). Elle était encore en service en 1975, elle a été fermée et détruite depuis.

Cepoy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Montargis, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[42] et 56 233 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Montargis dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[45][46].

L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (43,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,7 %), zones urbanisées (23,3 %), forêts (20,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,5 %), eaux continentales (4,4 %)[47].

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].

La commune est traversée par la vallée du Loing qui est limitée en rive gauche par le canal du Loing, et en rive droite par la RD 240 et la voie S.N.C.F. et mitée par diverses anciennes sablières. L’urbanisation s’est développée des deux côtés de la vallée, quelques équipements dont la mairie étant cependant implantés sur une île entre deux bras de la rivière.

La commune est desservie par les transports en commun de l’agglomération montargoise.

La commune de Cepoy est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement du Loing), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses . Entre 1999 et 2019, quatre arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune de Cepoy : trois pour des inondations et coulées de boues et un pour des mouvements de terrains[49].

Les constructions exposées au risque d’inondation pour une crue centennale représentaient en 2007 environ 40 logements, soit près de 110 habitants, quelques bâtiments à usage d’activités (commerce, moulin), des établissements recevant du public et plusieurs équipements sensibles (mairie, camping, avenue du Château…). Les crues du Loing ont essentiellement lieu aux mois de décembre, janvier et février, qui concentrent l’ensemble des crues majeures, plus rarement en automne (octobre 1896), et au printemps (mai 1836). Les deux crues de référence sont celles de janvier 1910 (3,16 m à Montargis) et de mai-juin 2016 (3,36 m à la même station)[51][52]. Le risque d’inondation est pris en compte dans l’aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Agglomération montargoise et Loing Aval approuvé le par arrêté préfectoral et modifié en 2013 pour la commune de Dordives.

Le territoire de la commune peut également être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.

Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[56].

Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[49].

La commune est concernée par le risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d’itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (l’autoroute A77 et la route départementale D740),.

La paroisse et bourg de Cepoy acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[60]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.

Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n’a affecté la commune depuis sa création.

Initialement constitué par arrêté préfectoral le , le district urbain de l’agglomération Montargoise, le plus ancien district de France, regroupait huit communes dont la commune de Cepoy. Celui-ci avait des compétences réduites : ordures ménagères, transports, service départemental d’incendie et de secours (SDIS) et assainissement. La communauté d’agglomération a été créée dans l’optique d’avoir une mutualisation des moyens. En application des dispositions de la loi n 99-586 du relative au renforcement et à la simplification de la coopération intercommunale, le district s’est transformé en communauté d’agglomération qui a pris le nom de « Agglomération Montargoise et Rives du Loing » par arrêté préfectoral du . Les statuts dont été adoptés le [63]. La commune appartient à d’autres établissements publics de coopération intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le découpage territorial de ces structures est en constante évolution dans une perspective de rationalisation et d’efficience des services.

La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe), visant une réduction du nombre d’intercommunalités en France, fait passer de 5 000 à 15 000 habitants, sauf exceptions, le seuil démographique minimal pour constituer une intercommunalité et a un impact sur les périmètres des intercommunalités du département du Loiret dont le nombre passe de 28 à 16. Mais la communauté d’agglomération Agglomération Montargoise et Rives du Loing, dont la population totale dépasse le nouveau seuil minimal, ne voit pas son périmètre changer et la commune de Cepoy en reste donc membre. Cette loi a toutefois un impact sur ses compétences avec l’attribution de nouvelles compténces comme de la gestion des milieux aquatiques et de la prévention des inondations à partir du .

Sous l’Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Cepoy était rattachée sur le plan ecclésiastique à l’ancien diocèse de Sens et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[67].

La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Cepoy est alors incluse dans le canton de Montargis, le district de Montargis et le département du Loiret.

La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[70]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[72], puis l’acte III en 2012-2015.

Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Cepoy aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.

La commune de Cepoy est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.

Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Cepoy, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[88]. Il est composé de 19 membres. L’exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.

En 2008, la commune a reçu le label « Ville Internet ».

Drapeau de la Suède Dals-Ed (Suède).

En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de ramassage et de traitement des ordures ménagères (SMIRTOM) de Montargis, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[93]. Un réseau de trois déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche de la commune est située sur la commune d’Amilly.

Le SMIRTOM de Montargis procède également à l’élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective dans l’unité d’Amilly, construite en 1969. Une convention de délégation du service public de traitement a été conclue en 2013 avec la société Novergie Centre, filiale énergie du Groupe Suez pour la valorisation énergétique des déchets.

Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté d’agglomération Agglomération montargoise et rives du Loing en application de la loi NOTRe du [96].

Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. La commune de Cepoy a délégué la gestion du service au syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable de la région du Puy la Laude, un syndicat créé en 1957 desservant cinq communes : Cepoy, Corquilleroy, Fontenay-sur-Loing, Girolles et Paucourt[98][99][100]. Au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal relèvent désormais de la compétence de la communauté de l’agglomération montargoise et des rives du Loing (A.M.E.) qui assure la représentation-substitution des communes adhérentes au SIAEP, dont Cepoy, au sein de celui-ci. 7 497 habitants étaient desservis par le syndicat en 2015 (7 473 au 31/12/2014). Les trois ressources sont les deux forages situés sur la commune de Cepoy et le puits de l’Abymes sur la commune de Paucourt. Le volume prélevé en 2015 atteint 588 064 m3 d’eaux brutes. Le volume d’eau consommée s’élève en 2015 à 369 215 m et est distribuée à 4 197 abonnés dont 1 424 sur la commune de Cepoy[102].

La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est également assurée par l’A.M.E.[104][105][106] qui dispose ainsi en 2015 d’un réseau de 384,8 km, de 11 737 regards de visite et de 145 postes de relevage et de trois stations d’épuration principales situées à Chalette-sur-Loing, à Amilly et à Vimory. La commune est raccordée à la station d’épuration située sur le territoire de la commune de Chalette-sur-Loing, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 85 000 EH, soit 16 700 m/jour. Cet équipement utilise un procédé d’épuration biologique dit « à boues activées ». Son exploitation est assurée en 2017 par la Lyonnaise des Eaux Amilly[108][109].

Certaines rues de la commune ne sont pas desservies par le réseau d’eaux usées (réseau d’assainissement collectif) de l’Agglomération montargoise et les habitations doivent dès lors être pourvues d’un système d’assainissement individuel. L’assainissement non collectif (ANC) désigne ces installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. L’agglomération montargoise assure le service public d’assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[111][107].

Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.). L’observatoire national des services d’eau et d’assainissement publie la description actualisée des services publics d’eau potable et d’assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[113]. Le prix au m est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE).

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[126].

En 2020, la commune comptait 2 400 habitants, en augmentation de 2,52 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Elle est située dans l’aire urbaine de Montargis.

Comme dans la majeure partie de l’Orléanais et du Gâtinais, la survenue du phylloxéra, à la fin du XIX siècle, a profondément modifié la sociologie de la commune. Aux XVIIe et XVIII siècles, une bonne moitié des chefs de famille étaient qualifiés de vignerons (activité sans doute non exclusive). Aujourd’hui, l’activité viticole a complètement disparu, hormis pour de rares usages domestiques.

Parallèlement, le développement des établissements Hutchinson, dans la commune voisine de Châlette-sur-Loing, a parachevé le déclin des activités agricoles dans la commune.

Fête du village : fête Saint-Loup le premier week-end de septembre. Spectacles, retraite aux flambeaux, feu d’artifice, etc.

Le nom « Cepoy », habituellement prononcé /se.pwa/ jusque dans la première moitié du XX siècle, a inspiré l’un des noms de plume – « Jacques Cépoy » (avec un accent) – du journaliste Pierre Pujo, qui avait quelques racines maternelles à Ferrières-en-Gâtinais, mais aussi à Mignères et Pannes ; le nom du « haras de Cepoy », un élevage de chevaux lipizzan situés à Loches (Indre-et-Loire), propriété de Chantal Bouvier de Lamotte, Miss France 1972.

La commune possède plusieurs labels :

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