Réparation de Toiture Chevillon-sur-Huillard (45700)

Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Chevillon-sur-Huillard ? L’Art du Toit s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Chevillon-sur-Huillard dans le Loiret.

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La Remise en état de votre revêtement de toiture est notre priorité à Chevillon-sur-Huillard, 45700

Vous avez découvert que votre toiture est usée à Chevillon-sur-Huillard ? Vous ne savez pas comment réparer cela ? Vous envisagez des prestations de couverture ? Rassurez-vous, notre entreprise est le couvreur à Chevillon-sur-Huillard qui vous convient !

toiture endommagée réparé Chevillon-sur-Huillard

Nous remettons en état tout type de toiture à Chevillon-sur-Huillard


Avant d’effectuer une remise en état de toit, notre expert en couverture doit commencer par identifier la source du dommage, celle-ci pouvant être tellement différente. L’expert en couverture doit ainsi mener une vérification visuelle de votre toiture par l’intérieur afin de connaitre les coins où il manque des tuiles ou ardoises. Par la suite, il montera sur votre toit pour un examen approfondi de celui-ci. Lors de cet examen, il vous dira quels sont les travaux d’entretien de toiture à qu’il peut effectuer pour assurer son système d’étanchéité. Et ensuite, il vous établira un devis de réparation de revêtement de toiture à Chevillon-sur-Huillard. Alors après votre acceptation, nous pourrons débuter le chantier.

La rénovation de toiture sur Chevillon-sur-Huillard

 

La réparation de toiture se fait d’une manière complète si elle est entièrement à remplacer. Cela peut se faire au cas où elle est très vétuste ou suite à des fléaux naturels. Dans ce cas, vous aurez à faire appel à votre maison d’assurance. Notre établissement de toiture sur Chevillon-sur-Huillard
installe un bâchage d’urgence qui sert à protéger votre toiture de manière provisoire jusqu’à ce qu’on puisse refaire votre toiture intégralement.

Dans le cas d’une réfection de toit à Chevillon-sur-Huillard
partielle, la remise en état usuelle est la rechange de tuiles que ce soit parce qu’elles se sont détachées ou puisque d’autres sont cassées. La rechange de tuiles est soumis à une méthodologie précise parfaitement connue par notre professionnel en couverture qui connaitra toutes les précautions adéquates pour ôter la pièce à changer et mettre en place la tuile neuve en la posant parfaitement à l’ensemble de sorte que le tout soit solide et imperméable.
Vous voyez à la pointe de votre toit une ligne de tuiles dénommée faîtage. La modernisation de toit peut concerner ce dernier quand il est abîmé ou qu’il qu’il bouge dès qu’il y a vent. Notre couvreur sur Chevillon-sur-Huillard a des suggestions à vous prodiguer pour que cela ne se reproduise plus.

Entretien des différents éléments sur votre toit

couvreur à Chevillon-sur-Huillard réparant la toiture en tuile

Par ailleurs, outre le changement de tuiles, la remise en état de toiture sur Chevillon-sur-Huillard
peut aussi concerner les éléments installés sur le toit. C’est ainsi que notre entreprise de toiture peut effectuer la remise à neuf d’une souche de cheminée, boucher une fuite sur cette dernière ou bien remettre le système d’étanchéité quand elle est endommagée par une défectueuse jonction entre la fenêtre de toit ou entre des plaques solaires et le revêtement de toiture. Il entreprendra tous les chantiers de zinguerie nécessaires.
Dès que votre toiture se détériore, faîtes confiance à notre société de revêtement de toiture de sorte que les travaux soient entrepris au plus vite. Cela vous évitera de recevoir un devis de remise en état de toit sur Chevillon-sur-Huillard avec un tarif véritablement élevé !

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À propos de Chevillon-sur-Huillard

Chevillon-sur-Huillard est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

La commune de Chevillon-sur-Huillard se trouve dans le quadrant nord-est du département du Loiret, dans la région agricole du Gâtinais pauvre. À vol d’oiseau, elle se situe à 53,9 km d’Orléans[3], préfecture du département, à 9,8 km de Montargis, sous-préfecture, et à 10,7 km d’Amilly, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Montargis[5].

Les communes les plus proches sont : Lombreuil (2,4 km), Saint-Maurice-sur-Fessard (3,2 km), Thimory (4,8 km), Vimory (4,9 km), Presnoy (5,3 km), Villemoutiers (6,2 km), Chailly-en-Gâtinais (6,2 km), Oussoy-en-Gâtinais (6,3 km), Pannes (6,9 km), Moulon (6,9 km) et Villemandeur (6,9 km).

Le Migneret, Fontaine brochet, les Caillats.

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l’ère géologique la plus récente sur l’échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d’années. La formation la plus ancienne est du calcaire d’Étampes remontant à l’époque Oligocène de la période Paléogène. La formation la plus récente est des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°365 – Montargis » de la carte géologique au 1/50 000 du département du Loiret[8][9] et sa notice associée.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 19,34 km[11][Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 19,47 km[9]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 20 mètres. L’altitude du territoire varie entre 86 m et 106 m.

La commune est traversée par le Canal d’Orléans (5,526 km). Le réseau hydrographique communal, d’une longueur totale de 24,96 km, comprend deux autres cours d’eau notables, l’Huillard (6,278 km) et le Limetin (4,872 km), et divers petits cours d’eau dont Bras le Limetin (0,764 km), Bras l’Huillard (1,444 km), Canal 01 de Baucheton (1,805 km), Cours d’Eau 05 de la Brosse (2,242 km), Fossé 01 de Marchais Clair (0,912 km) et Fossé 01 des Rebises (1,114 km) .

Le canal d’Orléans court sur 78,65 kilomètres entre Orléans, où il débouche dans la Loire et Châlette-sur-Loing, où il rejoint le canal du Loing et le canal de Briare au niveau du bief de Buges. Le Bief du May 3 820 mètres est situé sur la commune. Le canal est en plein essor de 1692 à 1793. De 1 500 à 2 000 bateaux remontent chaque année la Loire depuis Nantes pour gagner Paris. Mais avec la concurrence du rail, le trafic diminue puis disparaît complètement au début du 20 siècle. Le canal est déclassé en 1954 des voies navigables et entre dans le domaine privé de l’État[16].

L’Huillard, d’une longueur totale de 25,9 km, prend sa source dans la commune de Châtenoy et se jette dans la Bezonde à Saint-Maurice-sur-Fessard, après avoir traversé 7 communes. Sur le plan piscicole, l’Huillard est classé en deuxième catégorie piscicole. L’espèce biologique dominante est constituée essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[18].

Le Limetin, d’une longueur totale de 19,4 km, prend sa source dans la commune de Lorris et se jette dans le Canal d’Orléans à Pannes, après avoir traversé 7 communes . Sur le plan piscicole, le Limetin est également classé en deuxième catégorie piscicole[18].

L’actuelle dénomination a été officialisée en 1918. Auparavant, la commune était désignée sous la dénomination simple Chevillon (encore fréquente dans le langage courant).

Chevillon-sur-Huillard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Montargis, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24][25].

L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (69,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,6 %), forêts (25,2 %), prairies (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), zones urbanisées (3,9 %), eaux continentales (1,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[26].

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].

La commune de Chevillon-sur-Huillard est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses . Entre 1989 et 2019, dix arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune  : cinq pour des inondations et coulées de boues et cinq pour des mouvements de terrains[28].

Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.

Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[31].

Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[28].

La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d’une canalisation de gaz et d’itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (les routes départementales A77-D963)[27][34].

La paroisse et bourg de Chevillon acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[36]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.

La commune change de dénomination en 1918 et prend alors le nom de Chevillon-sur-Huillard. Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n’a affecté la commune depuis sa création.

Initialement constitué par arrêté préfectoral le , le district urbain de l’agglomération Montargoise, le plus ancien district de France, regroupait huit communes. Celui-ci avait des compétences réduites : ordures ménagères, transports, service départemental d’incendie et de secours (SDIS) et assainissement. La communauté d’agglomération a été créée dans l’optique d’avoir une mutualisation des moyens. En application des dispositions de la loi n 99-586 du relative au renforcement et à la simplification de la coopération intercommunale, le district s’est transformé en communauté d’agglomération qui a pris le nom de « Agglomération Montargoise et Rives du Loing » par arrêté préfectoral du [39]. La commune de Chevillon-sur-Huillard rejoint la communauté d’agglomération le [40]. Elle appartient à d’autres établissements publics de coopération intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le découpage territorial de ces structures est en constante évolution dans une perspective de rationalisation et d’efficience des services.

La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe), visant une réduction du nombre d’intercommunalités en France, fait passer de 5 000 à 15 000 habitants, sauf exceptions, le seuil démographique minimal pour constituer une intercommunalité et a un impact sur les périmètres des intercommunalités du département du Loiret dont le nombre passe de 28 à 16. Mais la communauté d’agglomération Agglomération Montargoise et Rives du Loing, dont la population totale dépasse le nouveau seuil minimal, ne voit pas son périmètre changer et la commune de Chevillon-sur-Huillard en reste donc membre. Cette loi a toutefois un impact sur ses compétences avec l’attribution de nouvelles compténces comme de la gestion des milieux aquatiques et de la prévention des inondations à partir du .

Sous l’Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Chevillon était rattachée sur le plan ecclésiastique de l’ancien diocèse de Sens et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[44].

La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Chevillon est alors incluse dans le canton de Saint-Maurice-sur-Fessard, le district de Montargis et le département du Loiret.

La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[47]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[49], puis l’acte III en 2012-2015.

Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Chevillon-sur-Huillard aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.

La commune de Chevillon-sur-Huillard est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.

Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Chevillon-sur-Huillard, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[64]. Il est composé de 15 membres. L’exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.

En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de ramassage et de traitement des ordures ménagères (SMIRTOM) de Montargis, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[68]. Un réseau de trois déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). Les deux déchèteries les plus proches sont situées sur les communes d’Amilly et de Corquilleroy.

Le SMIRTOM de Montargis procède également à l’élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective dans l’unité d’Amilly, construite en 1969. Une convention de délégation du service public de traitement a été conclue en 2013 avec la société Novergie Centre, filiale énergie du Groupe Suez pour la valorisation énergétique des déchets.

Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté d’agglomération Agglomération montargoise et rives du Loing en application de la loi NOTRe du [71].

Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. Au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal sont assurées par le syndicat des eaux de Saint-Maurice-sur-Fessard – Villemoutiers – Chevillon-sur-Huillard, un syndicat créé en 1963 desservant quatre communes : Chevillon-sur-Huillard, Saint-Maurice-sur-Fessard, Solterre, Villemoutiers[73][74][75]. En 2015, le syndicat gérait 2086 branchements domestiques, dont 718 compteurs d’eau sur Chevillon-sur-Huillard. 493 847 m d’eaux brutes ont été prélevés en nappe par le biais de deux forages[76].

La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes ou communautés d’agglomération sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l’exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[77][78].

La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est également assurée par l’A.M.E.[80][81][82] qui dispose ainsi en 2015 d’un réseau de 384,8 km, de 11 737 regards de visite et de 145 postes de relevage et de trois stations d’épuration principales situées à Chalette-sur-Loing, à Amilly et à Vimory. La commune est raccordée à une station d’épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 450 EH, soit 75 m/jour. Cet équipement utilise un procédé d’épuration biologique dit « à boues activées ». Son exploitation est assurée en 2017 par Lyonnaise des Eaux Amilly[84][85].

Certaines rues de la commune ne sont pas desservies par le réseau d’eaux usées (réseau d’assainissement collectif) de l’Agglomération montargoise et les habitations doivent dès lors être pourvues d’un système d’assainissement individuel. L’assainissement non collectif (ANC) désigne ces installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. L’agglomération montargoise assure le service public d’assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[87][83].

Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.). L’observatoire national des services d’eau et d’assainissement publie la description actualisée des services publics d’eau potable et d’assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[89]. Le prix au m est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE).

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[102].

En 2020, la commune comptait 1 465 habitants, en augmentation de 6,7 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

L’église Saint-Martin date du XI siècle.

Label ville fleurie : trois fleurs attribuées par le conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris.

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