Réparation de Toiture Dordives (45680)

Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Dordives ? L’Art du Toit s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Dordives dans le Loiret.

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L’Entretien de votre revêtement de toiture est notre raison d’être à Dordives, 45680

Vous avez constaté que votre toiture est usée à Dordives ? Vous ne savez pas comment réparer cela ? Vous envisagez des travaux de couverture ? Aucun souci, notre entreprise est le couvreur à Dordives qu’il vous faudra !

toiture endommagée réparé Dordives

Nous réparons tout type de toit à Dordives


Avant de réaliser une remise en état de toit, notre artisan couvreur doit commencer par détecter la source du dommage, celle-ci pouvant être très variée. Il doit alors faire un diagnostic visuel de votre couverture par l’intérieur en vue de trouver tous les endroits où il n’y a pas des ardoises ou tuiles. Puis, il se rendra sur votre toit pour effectuer un contrôle plus détaillé de ce recouvrement. Lors de ce contrôle, il pourra vous dire la liste des travaux de réparation de toiture à qu’il doit mener pour rétablir son imperméabilité. Ensuite, il vous donnera un devis d’entretien de revêtement de toiture à Dordives. Ainsi après votre validation, nous pourrons commencer la mission.

La réparation de toiture sur Dordives

 

La rénovation de toiture se fait d’une manière totale au cas où elle est intégralement à rénover. Cela peut se produire si elle est véritablement vieille ou à la suite de phénomènes météorologiques. Dans ce cas, vous serez contraint de faire recours à votre maison d’assurance. Notre entreprise de couverture à Dordives
installe un système de protection d’urgence qui va permettre de fortifier votre toit de façon temporaire en attendant de pouvoir réinstaller votre toit de façon intégrale.

Dans le cadre d’une rénovation de toiture dans la ville de Dordives
partielle, la remise en état ordinaire est le changement de tuiles que ce soit parce qu’elles se sont enlevées ou puisque d’autres ont été cassées. La rechange de tuiles est soumis à une règle précise parfaitement connue par notre spécialiste couvreur qui prendra toutes les mesures appropriées pour retirer la tuile à changer et mettre en place la tuile neuve en la fixant d’une manière parfaite à toute la couverture afin que le tout devienne robuste et hermétique.
Vous voyez au sommet de votre toit une ligne de tuiles que l’on appelle faîtage. La remise à neuf de toiture peut concerner celui-ci lorsqu’il est endommagé ou qu’il se soulève à chaque coup de vent. Notre couvreur à Dordives a des propositions à vous donner pour que cela ne revienne plus.

Entretien des différentes pièces sur votre toit

couvreur à Dordives réparant la toiture en tuile

Par ailleurs, outre le changement de tuiles, la réparation de toit sur Dordives
s’étend aux éléments mis en place sur le toit. Alors notre société de revêtement de toiture peut effectuer la modernisation d’une couche de cheminée, colmater une fuite sur celle-ci ou bien remettre l’étanchéité quand elle est dégradée par une mauvaise jonction entre les ouvertures de toit ou entre des panneaux solaires et la toiture. Il fera tous les services de zinguerie indispensables.
Dès que votre toit vieillit, faîtes confiance à notre société de revêtement de toiture pour que les travaux soient effectués au plus vite. Cela vous permettra d’éviter de vous procurer d’une facture de réfection de toiture dans la ville de Dordives avec un tarif vraiment supérieur !

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À propos de Dordives

Dordives est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

La commune de Dordives se trouve dans le quadrant nord-est du département du Loiret, dans la région agricole du Gâtinais pauvre. À vol d’oiseau, elle se situe à 69,3 km d’Orléans[3], préfecture du département, à 16,6 km de Montargis, sous-préfecture, et à 6,4 km de Ferrières-en-Gâtinais, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Souppes-sur-Loing[5] dont elle est éloignée de 5 km.

Les communes les plus proches sont : Nargis (4,2 km), Château-Landon (4,7 km, en Seine-et-Marne), Fontenay-sur-Loing (4,9 km), Souppes-sur-Loing (5 km, en Seine-et-Marne), Bransles (5 km, en Seine-et-Marne), Ferrières-en-Gâtinais (6,4 km), Préfontaines (7 km), Chaintreaux (7,1 km, en Seine-et-Marne), Chevannes (7,3 km) et La Madeleine-sur-Loing (7,6 km).

Les hameaux de Saint-Séverin, la Rue Mangine, le Petit sous-les-Vignes, le Grand sous-les-Vignes, la Queue de l’Étang, Thurelle.

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l’ère géologique la plus récente sur l’échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d’années, et du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s’étend de −252,2 à −66,0 Ma. Les plus anciennes sont de la craie blanche à silex remontant à la période Crétacé. Les plus récentes sont des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°329 – Château-Landon » de la carte géologique au 1/50 000 du département du Loiret[9][10] et sa notice associée.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 15,18 km[12][Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 15,13 km[10]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 48 mètres. L’altitude du territoire varie entre 67 m et 115 m.

L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Dordives comprend deux ZNIEFF.

La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 1, dénommée Coteau du Betz au bois de Verdeau, d’une superficie de 18 hectares, est située dans la partie est de la commune[17]. Son altitude varie entre 75 et 107 m. La zone est constituée d’un coteau entaillé dans le calcaire et occupé majoritairement par de la chênaie-charmaie. La présence de Buis (Buxus sempervirens) en population importante indique le caractère relativement thermophile de ce milieu. Ce type de configuration est en outre particulièrement rare dans le Loiret. De plus, l’intérêt majeur de ce site réside dans la présence de plusieurs cavités fréquentées par huit espèces de chauves-souris : la Barbastelle d’Europe, le Vespertilion de Daubenton, le Murin à oreilles échancrées, le Grand murin, le Murin à moustaches, le Murin de Natterer, le Grand rhinolophe et le Vespertilion de Bechstein[19].

La ZNIEFF, de deuxième génération et de 2, dénommée Vallée du Loing entre Nemours et Dordives, d’une superficie de 1 059 hectares, s’étend sur 8 communes, dont Dordives dans le Loiret. Son altitude varie entre 62 et 108 m[21]. Ce tronçon de la vallée du Loing comprend une diversité d’habitats: prairies inondables, ripisylves, méandres, plans d’eau issus de l’extraction de granulats alluvionnaires, qui confèrent au site une richesse paysagère, mais également une diversité écologique mise en avant par la présence d’animaux et de végétaux déterminants znieff et protégés au niveau national et régional.

La « Cave du Roy » dans le bois de Verdeau proche du moulin du Mez à l’est de Dordives, au pied du coteau sud du Betz, sert de gîte d’hibernation pour des chauve-souris. Elle a été regroupée avec sept marnières de l’est du Loiret dans le même cas, cet ensemble de cinq sites ayant en 2013 été classé en Zone Spéciale de Conservation et le tout intégré au réseau Natura 2000.
La cave de Verdeau, de 30 m de profondeur, abritait en 2005 des grands murins (14 individus en 2005, population stable) et des vespertilions à oreilles échancrées. Des barbastelles y ont été vues en 1999, absentes depuis (l’espèce préfère hiberner dans des troncs d’arbres creux)[24][25].

Dordives est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Souppes-sur-Loing, une agglomération inter-régionale regroupant 2 communes[29] et 8 703 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne. Cette aire regroupe 1 929 communes[32][33].

L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (34 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (40,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,2 %), zones urbanisées (18,2 %), terres arables (15,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), eaux continentales (14,9 %), cultures permanentes (3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,7 %)[34].

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].

Le territoire communal est traversé par la vallée du Loing, qui est essentiellement occupée par des bois et des étangs (anciennes sablières).

La commune de Dordives est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement du Loing), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses . Entre 1999 et 2019, sept arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune de Dordives : six pour des inondations et coulées de boues et un pour des mouvements de terrains[37].

Les points bas de l’agglomération qui s’est développée au bord de la vallée du Loing, peuvent être concernés par les débordements du Loing et de la Cléry. Des pavillons sont également concernés par le remous du Betz, ceux situés le long de la RN7 à l’entrée sud de l’agglomération, une ferme (Thurelles), un ancien moulin habité (Goulette), un autre moulin (Moulin Foulon). Les crues du Loing ont essentiellement lieu aux mois de décembre, janvier et février, qui concentrent l’ensemble des crues majeures, plus rarement en automne (octobre 1896), et au printemps (mai 1836). Les deux crues de référence sont celles de janvier 1910 (3,16 m à Montargis) et de mai-juin 2016 (3,36 m à la même station)[39][40]. Le risque d’inondation est pris en compte dans l’aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Agglomération montargoise et Loing Aval approuvé le par arrêté préfectoral et modifié en 2013 pour la commune de Dordives.

Le territoire de la commune peut également être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.

Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[44].

Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[37].

La commune est concernée par le risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d’une canalisation de gaz et d’itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (les routes départementales A77-D740)[36][47].

Dordives était une ville minière dès l’Antiquité ; la base de l’économie de l’époque, était le minerai de fer, ce qui donna son nom à la ville : « Auro dives » qui signifie « d’or riche », tout comme Ferrière située juste au sud. La ville est traversée par la voie romaine allant d’Orléans à Sens (d’ouest en est) dont il reste les traces sous forme du chemin de César, le long du Betz, rivière qui conflue avec le Loing (affluent de la rive gauche de la Seine, correspondant au trajet ancien de la Loire, du temps où elle rejoignait la Seine), ainsi que la route royale allant de Paris en Italie (RN7).

Sur son territoire se situe le château de  » Mez-le-Maréchal » , un château fort impressionnant construit par les premiers seigneurs du Mez, appartenaient à la famille Clément, au temps de Philippe Auguste, (1190) mais dans la plaine et non sur le promontoire car il correspond à la fortification de l’ancienne place forte romaine et qui rappelle dans son architecture le château de Vincennes.

Dordives est aussi le siège du le château de Thurelles, qui relevait à l’origine du fief de Ferrières et dont l’un des premiers propriétaires fut le sieur François de Thiballier, chef d’escadre des galères au sein de la Marine royale, qui commande une expédition voulue par Colbert à destination des Indes orientales (1670-1672) au cours de laquelle il décède. Le château actuel a été rebâti sur les ruines du précédent démoli au XIXe s.

La paroisse et bourg de Dordives acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[52]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.

Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n’a affecté la commune depuis sa création.

La commune est membre de la communauté de communes des Quatre Vallées depuis sa création le . Cette intercommunalité succède au SIVOM de Ferrières-en-Gâtinais, créé en mai 1966, et au SIVOM de Corbeilles.

La loi du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové, dite loi ALUR, fait évoluer de manière significative les compétences en matière d’urbanisme, dont certaines sont transférées de la commune à la communauté de communes.

La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe), visant une réduction du nombre d’intercommunalités en France, fait passer de 5 000 à 15 000 habitants, sauf exceptions, le seuil démographique minimal pour constituer une communauté de communes et a un impact sur les périmètres des intercommunalités du département du Loiret dont le nombre passe de 28 à 16. Mais la communauté de communes des Quatre Vallées ne voit pas son périmètre changer et la commune de Dordives en reste donc membre. Cette loi a toutefois un impact sur ses compétences avec l’attribution par exemple de la gestion des milieux aquatiques et de la prévention des inondations à partir du .

Sous l’Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Dordives était rattachée sur le plan ecclésiastique de l’ancien diocèse de Sens et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[59].

La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Dordives est alors incluse dans le canton de Ferrières, le district de Montargis et le département du Loiret.

La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[62]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[64], puis l’acte III en 2012-2015.

Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Dordives aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.

La commune de Dordives est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.

Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Dordives, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[78]. Il est composé de 23 membres. L’exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.

En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de ramassage et de traitement des ordures ménagères (SMIRTOM) de Montargis, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[82]. Un réseau de trois déchèteries, dont une est située sur le territoire communal, accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). Le SMIRTOM de Montargis procède également à l’élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective dans l’unité d’Amilly, construite en 1969. Une convention de délégation du service public de traitement a été conclue en 2013 avec la société Novergie Centre, filiale énergie du Groupe Suez pour la valorisation énergétique des déchets[84].

Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes des Quatre Vallées en application de la loi NOTRe du [85].

Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. Au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal sont assurées la commune elle-même[87]. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l’exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[88][89].

La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est assurée par la commune elle-même[91]. La commune est raccordée à une station d’épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 4 500 EH, soit 675 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d’épuration biologique dit « à boues activées ». Son exploitation est assurée par la commune,.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. En 2017, la communauté de communes des Quatre Vallées assure le service public d’assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[95][96].

Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.). L’observatoire national des services d’eau et d’assainissement publie la description actualisée des services publics d’eau potable et d’assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[98]. Le prix au m est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE).

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[111].

En 2020, la commune comptait 3 272 habitants, en augmentation de 0,06 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Jean Walter, architecte, découvreur et directeur des Mines de Zellidja Bou Beker, créateur des Bourses Zellidja, est victime le 11 juin 1957 d’un accident mortel de la circulation sur la commune de Dordives.

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