Réparation de Toiture Fleury-les-Aubrais (45400)

Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Fleury-les-Aubrais ? L’Art du Toit s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Fleury-les-Aubrais dans le Loiret.

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La Réparation de votre toiture est notre priorité à Fleury-les-Aubrais, 45400

Vous avez trouvé que votre couverture vieillit à Fleury-les-Aubrais ? Vous ignorez comment fixer ce problème ? Vous envisagez des prestations de couverture ? Pas de panique, notre équipe est le couvreur à Fleury-les-Aubrais qu’il vous faudra !

toiture endommagée réparé Fleury-les-Aubrais

Nous remettons en état tout type de couverture à Fleury-les-Aubrais


Avant d’accomplir une réfection de toit, notre expert en couverture doit commencer par déterminer l’origine du dommage, celle-ci pouvant être très différente. L’artisan couvreur doit alors mener un examen visuel de votre couverture par l’intérieur dans le but de situer les espaces où il n’existe pas des ardoises ou tuiles. Par la suite, il grimpera sur votre toit pour réaliser un constat plus précis de cette couverture. Lors de cette évaluation, il pourra vous dire la liste des travaux de réparation de toiture à Fleury-les-Aubrais qu’il peut mettre en place pour assurer son système d’étanchéité. Ensuite, il vous donnera un devis d’entretien de toiture à Fleury-les-Aubrais. En conséquence après votre validation, nous pourrons commencer les travaux.

La remise à neuf de toiture à Fleury-les-Aubrais

 

La réfection de toiture se fait d’une manière complète si elle est complètement à rénover. Cela peut être le cas au cas où elle est très vieille ou à la suite de fléaux naturels. Dans cette circonstance, ce sera mieux de faire intervenir votre maison d’assurance. Notre société de toiture à Fleury-les-Aubrais
installe un bâchage d’urgence permettant de fortifier votre toit de façon provisoire jusqu’à ce qu’on puisse remettre votre toiture dans son intégralité.

Dans le cadre d’une réfection de toiture dans la ville de Fleury-les-Aubrais
partielle, la réparation habituelle est le remplacement de tuiles que ce soit parce qu’elles se sont enlevées ou parce que certaines ont été cassées. Le changement de tuiles fait l’objet d’une technique déterminée bien maitrisée par notre professionnel en couverture qui prendra toutes les mesures indispensables pour enlever celle à remplacer et mettre en place la tuile neuve en la mettant d’une manière sûre à l’ensemble pour que le tout devienne robuste et imperméable.
Vous retrouverez au sommet de votre toit une ligne de tuiles dénommée faîtage. La modernisation de toiture peut toucher ce dernier quand il est abîmé ou qu’il se soulève en cas de vent. Notre expert en couverture dans la ville de Fleury-les-Aubrais a des solutions à vous prodiguer afin que cela ne se manifeste plus.

Rétablissement des différentes parties sur votre toiture

couvreur à Fleury-les-Aubrais réparant la toiture en tuile

Par ailleurs, outre le changement de tuiles, l’entretien de toiture dans la ville de Fleury-les-Aubrais
s’étend aux éléments installés sur le toit. C’est ainsi que notre agence de couverture peut réaliser la remise à neuf d’une couche de cheminée, colmater une fuite sur celle-ci ou encore remettre l’étanchéité lorsque celle-ci est menacée par une mauvaise connexion entre les ouvertures de toit ou entre des plaques photovoltaïques et la couverture. Il fera tous les chantiers de zinguerie nécessaires.
Dès que votre toiture se dégrade, consultez notre société de revêtement de toiture afin que les services soient effectués rapidement. Cela vous permettra d’éviter d’avoir un devis de réparation de toiture à Fleury-les-Aubrais avec un montant vraiment supérieur !

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À propos de Fleury-les-Aubrais

Fleury-les-Aubrais (latin : Floriacum) est une commune française située dans le département du Loiret, en région Centre-Val de Loire.

La commune est située en bordure ouest de la région naturelle de la forêt d’Orléans (108 hectares du territoire de la commune sont occupés par la forêt au nord-est), dans l’aire urbaine et l’unité urbaine d’Orléans.

Elle est limitrophe d’Orléans et distante de 129 km au sud de Paris.

L’emprise ferroviaire de la gare SNCF, ainsi que la zone d’activité qui l’accompagne, constitue la partie la plus à l’ouest de la commune. La gare constitue historiquement un des principaux attraits de cette ville, la gare d’Orléans n’étant qu’un terminus.

Les quartiers :

Lieux-dits : l’Herveline, la Croix Fleury, la Barrière Saint Marc, les Escures, les Boudines, la Bustière, Faubourg Bannier.

La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s’étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire,.

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l’Aquitanien (de – 23 à – 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), constitue le substratum des lignes ferroviaires, à l’ouest de la commune. Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d’années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent la partie centrale du territoire communal. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[4].

Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant la partie est de la commune.

Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de 24 mètres. L’altitude du territoire varie en effet de 109 mètres à 133 mètres,.

La commune bénéficie d’un climat « océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes du Loiret. Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires et les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l’ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-contre. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1975 à 2020 permet de connaître l’évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Agrum Floriacum au IX siècle, Soli Floriacensis enpredii videlicet beati Benedicti en 1079[10], Apud Floriacum en 1201, De Floriaco en 1245[12], Parvus Floriacus au XIII siècle[13], Apud Floriacum en 1321 ,

Le type toponymique Fleury est dérivé de l’ancienne Floriacum ou villa Florii. Le village s’est donc développé à partir du domaine de Florius, un propriétaire terrien de l’époque gallo-romaine, le vocable en bas latin Floriacus étant issu du gentilice Florius, suivi du suffixe -acus,. Aubrais est dérivé du latin albaretum (= bois de peupliers), de albarus (blanchâtre) suivi du suffixe collectif –etum. Ces mots sont dérivés de l’adjectif latin albus (blanc). Il y avait donc ici un bois de peupliers qui fut ensuite défriché pour laisser place à des champs et à un village de cultivateurs[16].

La ville s’appelait à l’origine Fleury, cette paroisse ayant probablement emprunté le nom de l’abbaye qui l’avait possédée (l’abbaye de Fleury)(Fleury en août 1386[18], Fleury en décembre 1400, Fleury lez Orléans en avril 1409[20]. Elle devient ensuite Fleury les Orléans, nom qu’elle conserve jusqu’au XVIII siècle (Fleury lez Orléans en septembre 1459[21], Fleury lez Orléans en 1491). Elle est rebaptisée Fleury aux choux, en raison d’une intense activité maraîchère (Fleury aux Choulx en 1479[22]).

Par décret du , la ville prend le nom de Fleury-les-Aubrais (« les » sans accent grave), s’adjoignant le nom du nœud ferroviaire des Aubrais,.

Quelques moines, issus de l’abbaye bénédictine de Fleury (Saint-Benoît-sur-Loire), vinrent s’installer au nord d’Orléans en créant une chapelle Fleury.

Le décret de l’Assemblée Nationale du décrète « il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne ». En 1790, dans le cadre de la création des départements, le Loiret compte alors 367 municipalités, rattachées à 59 cantons et 7 districts[24]. La municipalité de Fleury est rattachée au canton de Fleury et au district d’Orléans. Le terme « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, est imposé par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () : « La Convention nationale, sur la proposition d’un membre, décrète que toutes les dénominations de ville, bourg ou village sont supprimées et que celle de commune leur est substituée »[26]. Ainsi la municipalité de Fleury devient formellement « commune de Fleury » en 1793.

Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu’un rôle électoral, permettant l’élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés,. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d’importance en retrouvant une fonction administrative[27]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 58 à 31,. Fleury-les-Aubrais est alors rattachée au canton Ingré et à l’Arrondissement d’Orléans par arrêté du 9 vendémiaire an X (),,. En 1806, la commune est rattachée au canton d’Orléans-Nord-Ouest, un canton nouveau formé entre autres des communes de l’ancien canton d’Ingré[32]. Cette organisation va rester inchangée jusqu’en 1973 où la commune est rattachée au canton de Fleury-les-Aubrais.

L’importante gare ferroviaire a été inaugurée le au lieu-dit les Aubrais, constituant un pôle d’attractivité pour toute la ville.

Durant la guerre franco-allemande de 1870, la ville est le terrain d’importants combats opposant les Français aux Prussiens sur le lieu de l’actuel quartier des Aydes.

La légende veut qu’une remarque moqueuse sur le patronyme de la ville, faite par Alphonse XIII, roi d’Espagne, en transit à la gare le , ait provoqué le changement de nom qui a été avalisé en 1907.

La mairie actuelle est construite en 1928.

Durant la Seconde Guerre mondiale, la gare est détruite lors de bombardements alliés en 1944 qui touchent également le quartier adjacent. La ville est libérée le 18 août de cette même année.

La gare actuelle date de 1961. L’ouverture du tramway d’Orléans, passant par Fleury-les-Aubrais, a lieu en 2000.

Le centre culturel La Passerelle est inaugurée en 2006.

Fleury-les-Aubrais est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine d’Orléans, une agglomération intra-départementale regroupant 19 communes[38] et 282 269 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction d’Orléans, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[41][42].

L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires artificialisés (83,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (74,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (53,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (30,2 %), forêts (16,4 %).

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].

La ville est dotée d’un Plan d’occupation des sols (POS) valant Plan local d’urbanisme (PLU). Sa révision en 2001 a eu pour objet la définition de nouveau projet, et l’intégration d’un projet de ZAC : la ZAC « Cœur de ville ». La commune a réalisé une exposition en 2004 afin de communiquer avec la population locale sur les futurs projets.

Le schéma de cohérence territoriale (SCOT) de l’agglomération orléanaise a été approuvé en décembre 2008. C’est un document avec lequel le POS, et donc la politique de la ville, devront être en cohérence.

La tangentielle traverse la commune, avec un trafic journalier de 51 500 véhicules au niveau de la commune. La route départementale 2020 (ex-route nationale RN 20) traverse également la commune, avec 18 000 véhicules empruntant cette portion de l’axe.

En tant que commune membre d’Orléans Métropole, Fleury-les-Aubrais est desservie par les transports de l’agglomération orléanaise (TAO), essentiellement par la ligne A du tramway : quatre stations se situent sur le territoire de la commune (Gare des Aubrais, Bustière, Lamballe et Jules-Verne), cette dernière étant le terminus nord de la ligne. De plus, trois parc relais (P+R) couplés à des stations de tramway y sont implantés et permettent aux Fleuryssois de rejoindre le centre d’Orléans ou le sud de l’agglomération par le tram.

De nombreuses lignes de bus desservent la commune : 1, 4, 6, 9, 11, 12, 19, 21, 33 et 37.

La gare des Aubrais est un point d’échange majeur de la métropole d’Orléans du point de vue des transports en commun (tram, bus, train, vélo).

En raison de la situation en cul-de-sac de la gare d’Orléans, c’est la gare des Aubrais qui est utilisée pour la plupart des liaisons Grandes lignes desservant l’agglomération orléanaise. Le trafic dans cette gare est de 7 000 passagers par jour. La grande majorité des passagers effectue des trajets pendulaires quotidiens vers Paris pour se rendre à leur lieu de travail[réf. nécessaire].

Des bornes de location de vélo sont implantées dans la commune, par exemple à la gare. Ces bornes sont également sur la commune d’Orléans.

La commune de Fleury-les-Aubrais est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses. Entre 1989 et 2019, huit arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune  : deux pour des inondations et coulées de boues et six pour des mouvements de terrains[47].

Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.

Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[50].

Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante . La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[47].

La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d’une canalisation de gaz, d’une ligne de transport ferroviaire et d’itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (la route départementale D2020)[46][53].

Les quartiers (Ormes du mail / Andrillons, Tournemaine / Denis Papin, Lignerolles / La Jabotte) font partie des contrats urbains de cohésion sociale.

Un projet de prévention de la délinquance a été mis en place, la police municipale a été renforcée et de nombreux projets de rénovation sont en cours.

La commune de Fleury-les-Aubrais est membre de l’intercommunalité Orléans Métropole, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Orléans. Ce dernier est par ailleurs membre d’autres groupements intercommunaux. En 2020, il s’agit du Syndicat mixte aménagement desserte aérienne de l’Ouest du Loiret (SMAEDAOL), du Syndicat mixte des bassins versants de la Bionne et du Cens et du Syndicat mixte d’améngament hydraulique (SMAH) du bassin de la Retrêve et de son affluent le ruisseau du Renard.

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l’arrondissement d’Orléans, au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Fleury-les-Aubrais pour l’élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[54], et de la cinquième circonscription du Loiret pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010.

Le conseil municipal de Fleury-les-Aubrais, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[58]. Il est composé de 35 membres. L’exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil. Carole Canette est maire depuis 2020, succédant à une autre femme, Marie-Agnès Linguet, élue en 2014.

Au second tour des élections municipales du mois de juin 2020, la liste de l’Union de la Gauche, ayant à sa tête Carole Canette (« REVEILLER FLEURY »), a obtenu 46,51 % des voix à Fleury-les-Aubrais, se plaçant ainsi en tête à l’issue de ce second tour. À la deuxième position de ce suffrage, la liste « FLEURYSSEZ-VOUS », menée par la maire sortante, Marie-Agnès Linguet, a réuni 34,24 % des votes. La liste menée par Stéphane Kuzbyt a fini troisième de cette élection, avec 19,23 % des votes.

35,32 % des électeurs de Fleury-les-Aubrais ont voté pour ce second tour des élections municipales. Ce chiffre était de 36,35 %, au scrutin du premier tour le 15 mars 2020.

La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d’Agenda 21 en 2009.

La ville est ville fleurie avec quatre fleurs, et la distinction Grand Prix attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris.

En 2020, la municipalité a planté en cœur de ville la première micro-forêt urbaine du Loiret.

Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. La commune assurait jusqu’au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal. La gestion de l’eau étant une compétence obligatoire des communautés urbaines[66] et des métropoles, la communauté urbaine Orléans Métropole s’est substituée à la commune pour la mise en œuvre du service public d’eau potable lors de la transformation de la communauté d’agglomération Val de Loire en communauté urbaine le , puis c’est la métropole Orléans Métropole le qui a pris cette compétence. La ville de Fleury-les-Aubrais est alimentée en eau potable par deux forages pompant l’eau à 100 m de profondeur dans la nappe souterraine des calcaires de Beauce : le forage de Corne de Cerf, rue Salvador Allende, mis en service en 1967 et le forage Lignerolle, rue Emile Zola, mis en service en 1990[68].

La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est assurée depuis le par la Communauté de l’Agglomération Orléans Val de Loire, puis le par la communauté urbaine et enfin depuis le par Orléans Métropole.

Depuis le , la métropole a signé un contrat de délégation de service public avec la société Suez Environnement pour l’exploitation des réseaux et ouvrages de transport de 11 communes du territoire métropolitain dont Fleury-les-Aubrais[71]. Le réseau comprend un réseau unitaire (eaux usées + eaux pluviales) de 79 527 ml, un réseau séparatif eaux usées de 3 280 ml et un réseau d’eaux pluviales de 13 161 ml. Sur la commune, on compte 7 stations de relevage pour les eaux usées . Ces stations peuvent contenir de une à quatre pompes dont les puissances peuvent varier de 1,3 kW à 140 kW (soit de 3 l/s à 450 l/s)[72].

Un zonage d’assainissement, qui délimite les zones d’assainissement collectif, les zones d’assainissement non collectif et le zonage pluvial a été réalisé par l’AgglO et a été approuvé par délibération du conseil de communauté du [74].

La commune est raccordée à la station d’épuration de La Chapelle-Saint-Mesmin. Cet équipement, dont la capacité est de 350 000 EH, le plus important sur le territoire d’Orléans Métropole, a été mis en service le et son exploitation est assurée depuis mai 2016 par Véolia[71].

La collecte, le traitement et la valorisation des déchets est une compétence exclusive de la communauté urbaine Orléans Métropole depuis 2000 (l’intercommunalité était alors communauté de communes). La collecte des déchets ménagers (résiduels et multimatériaux) est effectuée en porte-à-porte sur toutes les communes de la communauté urbaine. Un réseau de six déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, cartons…)[77].

Une unité de traitement permettant la valorisation énergétique (l’incinération des déchets ménagers résiduels) et la valorisation matière des autres déchets (corps creux, corps plats et multimatériaux) est en service sur la commune de Saran depuis 1996. Elle est exploitée par la société ORVADE, filiale du groupe Veolia.

La commune est dotée d’un lycée d’enseignement professionnel (lycée Jean-Lurçat), de 2 collèges (collège Condorcet et collège André-Chène) et de 7 groupes scolaires. L’école maternelle Jacques-Brel a été agrandie en 2003.

Fleury dispose également de trois crèches (Les Oisillons, L’Île aux Momes et 1, 2, 3 Soleil).

L’offre péri-scolaire est assurée par deux centres de loisirs (La Brossette et Anaïs et Thibault) et trois maisons de quartier (Jacques-Tati, Jean-Vilar et Jean-Gabin).

La ville dispose également d’un Espace-Emploi-Formation : SPRO / PIJ – Relais Mission Locale – Relais Emploi

Chaque année, en juin, la municipalité organise la fête de la Jeunesse (R2Fête).

Un hôpital psychiatrique est implanté sur la commune.

Les équipements sportifs sont les suivants : quatre stades, quatre salles omnisports, une piscine, un boulodrome couvert et non-couvert, un stand de tir, une piste d’athlétisme (250 m), trois terrains de football et des courts de tennis.

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,.

En 2020, la commune comptait 21 104 habitants, en augmentation de 1,51 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d’un âge inférieur à 30 ans s’élève à 39,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,2 %). À l’inverse, le taux de personnes d’âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu’il est de 25,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 10 042 hommes pour 11 028 femmes, soit un taux de 52,34 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,3 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s’établissent comme suit.

La radio associative « Radio Arc En Ciel » est installées sur la ville de Fleury-les-Aubrais.

La chaine de télévision locale Orléans TV était installée aussi sur la commune de Fleury-les-Aubrais, puis Orléans, avant sa disparition en 2011.

La commune est l’un des premiers employeurs de l’agglomération, avec environ 10 000 emplois sur le territoire et plus de 10 000 actifs en 1999. L’activité est répartie sur plusieurs zones :

La maison vinaigrière Martin Pouret et l’entreprise Thalès sont installées sur la commune.

Depuis 2011, le nord de la ville a vu se développer l’offre commerciale autour du centre commercial de l’Orée de la Forêt, avec l’ouverture, dans un premier temps, de commerces rue Joliot-Curie.

Beaucoup de PMEet d’artisans sont implantés sur la commune, du faites de sa proximité avec la métropole d’Orléans.

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