Réparation de Toiture Lorris (45260)

Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Lorris ? L’Art du Toit s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Lorris dans le Loiret.

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La Réparation de votre toiture reste notre priorité à Lorris, 45260

Vous avez trouvé que votre couverture vieillit à Lorris ? Vous ne savez pas comment réparer cela ? Vous prévoyez des prestations de couverture ? Pas de panique, notre entreprise est le couvreur à Lorris qui vous convient !

toiture endommagée réparé Lorris

Nous remettons en état tout type de toiture à Lorris


Avant de procéder à une réparation de toiture, notre couvreur doit débuter par diagnostiquer la cause des dégâts, celle-ci peut être vraiment variée. Le couvreur va ainsi réaliser un examen visuel de votre revêtement par l’intérieur dans le but de situer tous les endroits où il manque des ardoises ou tuiles. Puis, il grimpera sur votre toit pour réaliser une évaluation plus minutieuse de ce recouvrement. À l’issue de ce diagnostic, il vous dira quels sont les travaux de rénovation de toit à qu’il peut mener pour rétablir son imperméabilité. Et ensuite, il vous remettra un devis de réparation de toiture à Lorris. En conséquence si vous approuvez, nous pourrons commencer les interventions.

La rénovation de toiture dans la ville de Lorris

 

La rénovation de toiture peut être totale au cas où elle est intégralement à changer. Cela peut être le cas lorsqu’elle est véritablement ancienne ou à la suite de fléaux naturels. Dans cette dernière situation, ce sera mieux de faire appel à votre compagnie d’assurance. Notre établissement de couverture à Lorris
pose un bâchage d’urgence permettant de protéger votre toiture de façon provisoire jusqu’à ce qu’on puisse refaire votre toiture complètement.

Dans le cas d’une réfection de toiture à Lorris
partielle, la réfection la plus fréquente est la rechange de tuiles que ce soit puisqu’elles se sont enlevées ou puisque d’autres sont cassées. La rechange de tuiles est soumis à une méthodologie déterminée bien maitrisée par notre expert en couverture qui saura toutes les précautions nécessaires pour enlever la pièce à remplacer et poser la nouvelle tuile en la posant d’une façon parfaite à l’ensemble de manière que le tout devienne robuste et hermétique.
Il y a à la pointe de votre toiture une ligne de tuiles que l’on appelle faîtage. La remise à neuf de toiture peut concerner ce dernier lorsqu’il est abîmé ou qu’il qu’il bouge à chaque coup de vent. Notre spécialiste couvreur dans la ville de Lorris a des propositions à vous proposer pour que cela ne se manifeste plus.

Réparation des différentes pièces sur votre toiture

couvreur à Lorris réparant la toiture en tuile

Par ailleurs, outre le changement de tuiles, l’entretien de toiture sur Lorris
peut aussi concerner les éléments qui se trouvent sur la toiture. C’est ainsi que notre société de toiture peut réaliser la remise à neuf d’une souche de cheminée, réparer une fuite sur cette dernière ou bien rétablir le système d’étanchéité lorsque celle-ci est menacée par une défectueuse jonction entre les ouvertures de toit ou entre des panneaux photovoltaïques et le toit. Il fera tous les chantiers de zinguerie indispensables.
Dès que votre toiture se dégrade, faîtes confiance à notre établissement de revêtement de toiture pour que les travaux soient terminés au plus vite. Cela vous évitera d’obtenir une facture de réfection de toiture à Lorris avec un chiffre vraiment important !

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À propos de Lorris

Lorris [lɔʁis] est une commune française située dans la région naturelle du Gâtinais, dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

La commune de Lorris se trouve dans le quadrant sud-est du département du Loiret, dans la région agricole de l’Orléanais. À vol d’oiseau, elle se situe à 45,2 km d’Orléans[2], préfecture du département et à 21,2 km de Montargis, sous-préfecture.

Les communes les plus proches sont : Noyers (2,9 km), Coudroy (4,1 km), Vieilles-Maisons-sur-Joudry (5,1 km), Montereau (5,7 km), La Cour-Marigny (6,3 km), Chailly-en-Gâtinais (6,9 km), Beauchamps-sur-Huillard (7,3 km), Thimory (7,5 km), Presnoy (8,2 km), Auvilliers-en-Gâtinais (8,5 km), Les Bordes (11,8 km), Bray-en-Val (13 km), et Ouzouer-sur-Loire (13,8 km).

Trois routes principales desservent la commune.

Elle est traversée en direction sud-ouest / nord-est par la D961, qui mène à la sous-préfecture Montargis à 22 km au nord-est (28 min en voiture dans des conditions normales de circulation) et rejoint Les Bordes à 12 km au sud-ouest.

La D88 va de Lorris à Saint-Aignan-des-Gués 16,7 km vers l’ouest-sud-ouest, où elle rejoint la D952 menant à Orléans, préfecture du département à 56 km (53 min) de Lorris.

Enfin, la D44 relie Lorris à Boiscommun, 22 km au nord-ouest, et à Gien, 25,5 km au sud-est.

Lorris est desservie par la ligne d’autocars 12 (Montargis – Dampierre-en-Burly)) de la société Ulys.

La ville a donné son nom au massif de Lorris, portion la plus orientale de la forêt d’Orléans et qui sur la commune occupe l’essentiel du terrain au sud de la ville. Cette belle zone boisée, pratiquement non habitée sauf pour le lotissement de Gué-l’Évêque qui compte environ 130 maisons en bordure Est de commune près du ruisseau la Trêve, est quadrillée par des allées forestières rectilignes, parcourue par de nombreux ruisseaux et parsemée d’étangs et de mares. On peut citer la Rigole de Courpalet dans le nord-ouest de la commune, qui alimente près de la Faisanderie une série d’étangs dont l’étang Clain. Le ruisseau la Poterie y passe peu après sa source en remontant vers le nord et vers Noyers, arrosant le bourg sur son passage. Le Limetin passe plus à l’est, se dirigeant vers le nord-est et alimente une longue série d’étangs dont l’étang de la Motte et l’étang des Bonneaux. La Trève ou Treille, long de 13,9 km, marque la limite Est de la commune sur environ 2,6 km. Plusieurs moulins utilisaient la force motrice de ces cours d’eau[8].

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l’ère géologique la plus récente sur l’échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d’années. La formation la plus ancienne est de la molasse du Gâtinais remontant à l’époque Miocène de la période Néogène. La formation la plus récente est des dépôts anthropiques remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°364 – Bellegarde-du-Loiret » et « n°365 – Montargis » de la carte géologique au 1/50 000 du département du Loiret[10][11] et leurs notices associées,.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 44,91 km[14][Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 44,8 km[11]. L’altitude du territoire varie entre 114 m et 173 m.

L’étang d’Orléans, partagé avec la commune de Vieilles-Maisons, est une réserve de chasse.

La rigole de Courpalet, cours d’eau artificiel de 31 km de long qui méandre largement dans la commune, est le plus important chenal d’alimentation du canal d’Orléans. Sur la commune elle passe par les étangs de Saragosse, de Glatigny et de la Motte.

La commune fait partie de la Zone spéciale de conservation (ZSC) de la « Forêt d’Orléans et périphérie », un site d’intérêt communautaire (SIC) selon la directive Habitat. Le premier Arrêté de protection de biotope pour cette ZSC a été passé le  ; le dernier arrêté date du . La ZSC a une surface de 2 251 hectares et concerne 33 communes.

La commune fait également partie de la zone de protection spéciale (ZPS) de la « Forêt d’Orléans »,, un Site d’Intérêt Communautaire (SIC) selon la directive Oiseaux de 32 177 hectares sur 26 communes.

Lorris est concerné par quatre zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :

Noter la présence sur la commune de l’orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), espèce vulnérable). Parmi les espèces animales sont présentes également la bécassine des marais (Gallinago gallinago, en déclin), le hibou des marais (Asio flammeus), le loup gris (Canis lupus, espèce vulnérable), le pigeon biset (Columba livia, espèce en danger), et la grue cendrée (Grus grus, en danger critique d’extinction).

Actum Lorriaci in palatio, 1112.

Bas latin Lorriacus. Nom de personne d’origine germanique Lotherus et faux suffixe de possession iacus ; le double r fait difficulté.

La prononciation correcte du nom est (en roulant les « r », avec un « s » final muet) mais, inexplicablement, depuis la Seconde Guerre mondiale, cette prononciation a quasiment disparu au profit d’un (sans « r » roulé). Peut-être y a-t-il eu volonté de se démarquer de communes ayant une consonance voisine : Lorrez (prononcé [loré]) ou Loury.

La ville est un rendez-vous de chasse pour les premiers Capétiens au XII siècle. Les souverains y entretiennent une cour assez réduite et y signent notamment la Charte de Lorris et la Paix de Lorris.

La charte de Lorris est promulguée en 1134 par le roi de France Louis VI le Gros (1108-1137). Elle donne à Lorris « privilèges et franchises » connus sous le nom de coutumes, ce qui fait de Lorris la première commune libre de France.

La paix de Lorris est signée le entre Raimond VII, comte de Toulouse, et le roi de France Saint Louis. Les deux hommes renouvellent ainsi le traité de Paris qu’ils ont déjà conclu le sous l’égide de la mère de Saint Louis, Blanche de Castille. Raimon VII renonce aux villes de Narbonne et d’Albi et promet de faire, lui-même, la chasse aux hérétiques, les « cathares ». Ce traité met fin définitivement aux souffrances des Albigeois et à la fronde des barons du midi contre Saint Louis. Par la même occasion, Raimon VII donne sa fille Jeanne en mariage au frère du roi de France, Alphonse de Poitiers.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, le département du Loiret fut l’un des hauts lieux de la Résistance et paya un lourd tribut à la Déportation. Ceci est particulièrement vrai pour Lorris où se situait le très actif maquis de Lorris.

Situé en forêt d’Orléans, dans le massif de Lorris, le Carrefour de la Résistance est l’endroit où ont été massacrés le plus de 50 maquisards réfugiés en forêt. Derrière leurs tombes, la maison forestière incendiée par l’occupant qui y avait enfermé les victimes, est restée en l’état.

Lorris est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Lorris, une unité urbaine monocommunale[31] de 2 943 habitants en 2017, constituant une ville isolée,. La commune est en outre hors attraction des villes[34][35].

L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (54,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,7 %), terres arables (21,6 %), prairies (12,1 %), zones urbanisées (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), eaux continentales (0,3 %)[36].

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].

La commune de Lorris est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à deux risques technologiques : le risque nucléaire et le risque de transport de matières dangereuses. Entre 1989 et 2019, sept arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune : deux pour des inondations et coulées de boues et cinq pour des mouvements de terrains[38].

Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.

Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[41].

Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[38].

Dans le domaine des risques technologiques, une partie du territoire de la commune peut être concernée par le risque nucléaire. En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont en effet susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. Or la commune se situe en totalité à l’intérieur du périmètre de 20 km du Plan particulier d’intervention de la centrale nucléaire de Dampierre. À ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux résidant dans le périmètre proche de 20 km de la centrale ont bénéficié, à titre préventif, d’une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d’incident ou d’accident nucléaire, des consignes de confinement ou d’évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[44].

La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d’un gazoduc,,.

La paroisse de Lorris acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[48]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.

Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n’a affecté la commune depuis sa création.

La commune est membre de la communauté de communes du canton de Lorris, une intercommunalité qui remplace l’ancien SIVOM du canton de Lorris créé en , depuis sa création le jusqu’au [51].

Afin de renforcer et réduire le nombre d’intercommunalités en France, la loi du portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe) fait passer le seuil démographique minimal de 5 000 à 15 000 habitants pour constituer une intercommunalité, sauf exceptions. Le schéma départemental de coopération intercommunale du Loiret est arrêté sur ces bases le et le nombre d’établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre passe dans le département du Loiret de 28 (2 communautés d’agglomération et 26 communautés de communes) à 16 (deux communautés d’agglomération et 14 communautés de communes dont une interdépartementale). Les communautés de communes du canton de Lorris et canton de Châtillon-Coligny et du Bellegardois fusionnent ainsi à compter du en une seule entité : la communauté de communes Canaux et forêts en Gâtinais, dont le siège est à Lorris. Cette nouvelle intercommunalité comprend 38 communes dont Lorris.

La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Lorris est alors incluse dans le canton de Lorris, le district de Montargis et le département du Loiret.

La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[56]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[58], puis l’acte III en 2012-2015.

Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Lorris aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.

La commune de Lorris est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.

Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Lorris, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[73]. Il est composé de 23 membres. L’exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil. VValérie Martin est maire depuis 2014.

En 2016, la commune est membre du SICTOM de la région de Châteauneuf-sur-Loire, créé en 1976. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[77]. Un réseau de dix déchèteries, dont une est située sur le territoire communal, accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). L’élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées par le SYCTOM de Gien-Châteauneuf-sur-Loire qui comprend un centre de transfert de déchets ménagers et un centre de stockage de déchets ultimes (CSDU) de classe II à Saint-Aignan-des-Gués ainsi qu’une usine d’incinération des ordures ménagères à Gien-Arrabloy[77].

Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes Canaux et Forêts en Gâtinais en application de la loi NOTRe du [79].

Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. Au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal sont assurées par le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable de Lorris, un syndicat créé en 1971 desservant quatre communes : Coudroy, Lorris, Noyers et Vieilles-Maisons-sur-Joudry[81][82][83]. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l’exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[84][85].

La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est assurée par la commune elle-même[87]. La commune est raccordée à une station d’épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 3 500 EH, soit 700 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d’épuration biologique dit « à boues activées ». Son exploitation est assurée en 2017 par la Lyonnaise des Eaux,.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. La communauté de communes du canton de Lorris a créé, par délégation de ses communes adhérentes, le service public d’assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de contrôler les installations neuves et existantes, la mise en place d’un service de vidange et la réhabilitation des installations[91][92]. Depuis le , c’est la communauté de communes Canaux et Forêts en Gâtinais, issue de la fusion de la communauté de communes du canton de Lorris, de la communauté de communes de Châtillon-Coligny et de la communauté de communes du Bellegardois, qui assure, par substitution, le SPANC.

Lorris, qui fait partie de la zone B, est situé dans l’académie d’Orléans-Tours. On y trouve une école maternelle, une école primaire et un collège :

Les lycées les plus proches sont :

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[98].

En 2020, la commune comptait 2 988 habitants, en augmentation de 1,25 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Le sentier de grande randonnée GR de Pays du Gâtinais passe dans le sud de la commune ; le GR3B la traverse également.

La commune possède le label « Ville fleurie », deux fleurs lui ont été attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France dans le cadre du concours des villes et villages fleuris.

La commune possède la petite zone artisanale des Dentelles, sur laquelle sont installées trois entreprises dont deux de menuiserie et un magasin d’outillage et matériaux de construction. Cependant toute nouvelle installation d’entreprise doit maintenant se faire sur le Parc d’Activités du Pays de Lorris, qui appartient à la communauté de communes de Lorris.

Ressources et productions agricoles : 24 établissements encore en activité exploitent environ 1 200 hectares.

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