Réparation de Toiture Nevoy (45500)

Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Nevoy ? L’Art du Toit s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Nevoy dans le Loiret.

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L’Entretien de votre revêtement de toiture reste notre priorité à Nevoy, 45500

Vous avez découvert que votre couverture a besoin d’une réparation à Nevoy ? Vous ignorez comment réparer cela ? Vous envisagez des prestations de couverture ? Rassurez-vous, nous sommes le couvreur à Nevoy qu’il vous faudra !

toiture endommagée réparé Nevoy

Nous réparons tout type de toit à Nevoy


Avant de commencer une remise en état de toiture, notre professionnel en couverture doit commencer par identifier la cause de l’usure, celle-ci pouvant être tellement variée. Le couvreur doit alors entreprendre un contrôle visuel de votre toiture par l’intérieur afin de situer les coins où il n’y a pas des ardoises ou tuiles. Après, il grimpera sur votre toit pour réaliser une évaluation plus minutieuse de celui-ci. Après ce diagnostic, il pourra vous dire quels sont les travaux de réfection de toit à qu’il peut mettre en place pour rétablir son étanchéité. Et ensuite, il vous établira un devis de réfection de couverture à Nevoy. Après après votre validation, nous pourrons débuter les interventions.

La rénovation de toiture dans la ville de Nevoy

 

La rénovation de toiture se fait d’une manière intégrale lorsqu’elle est entièrement à renouveler. Cela peut se produire au cas où elle est véritablement vieille ou suite à des phénomènes météorologiques. Dans cette circonstance, vous aurez à faire recours à votre société d’assurance. Notre établissement de toiture à Nevoy
installe un bâchage d’urgence qui sert à couvrir votre toit de façon temporaire en attendant de pouvoir rénover votre toit complètement.

Dans le cas d’une remise en état de toit dans la ville de Nevoy
partielle, la réfection habituelle est la rechange de tuiles que ce soit parce qu’elles se sont détachées ou puisque d’autres ont été cassées. La rechange de tuiles fait l’objet d’une règle déterminée bien connue par notre spécialiste couvreur qui saura toutes les mesures utiles pour enlever celle à changer et mettre en place la nouvelle tuile en l’intégrant efficacement à l’ensemble afin que le tout soit solide et hermétique.
Vous voyez au sommet de votre toit une ligne de tuiles appelée faîtage. La modernisation de toit concerne celui-ci quand il est abîmé ou qu’il qu’il bouge en cas de vent. Notre expert en couverture à Nevoy a des propositions à vous apporter pour que cela ne revienne plus.

Réparation des différentes parties sur votre toiture

couvreur à Nevoy réparant la toiture en tuile

Par ailleurs, en plus du remplacement de tuiles, la remise en état de toiture dans la ville de Nevoy
pourra également toucher les éléments mis en place sur le toit. Dans ce cadre notre agence de toiture peut entreprendre la rénovation d’une pièce de cheminée, boucher une fuite sur cette dernière ou encore remettre l’étanchéité lorsque celle-ci est remise en cause par une imparfaite connexion entre les ouvertures de toit ou entre des plaques solaires et la couverture. Il entreprendra tous les travaux de zinguerie nécessaires.
Aussitôt que votre toiture vieillit, faîtes confiance à notre établissement de revêtement de toiture pour que les projets soient effectués rapidement. Cela vous permettra d’éviter de vous procurer d’un devis de remise en état de toiture dans la ville de Nevoy avec un tarif trop inabordable !

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À propos de Nevoy

Nevoy est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

La commune de Nevoy se trouve dans le quadrant sud-est du département du Loiret, dans la région agricole de l’Orléanais. À vol d’oiseau, elle se situe à 54,8 km d’Orléans[3], préfecture du département, à 34,1 km de Montargis, sous-préfecture, et à 4,2 km de Gien, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Gien[5].

Les communes les plus proches sont : Saint-Gondon (3,5 km), Poilly-lez-Gien (4 km), Gien (4,2 km), Lion-en-Sullias (7,2 km), Dampierre-en-Burly (7,3 km), Saint-Martin-sur-Ocre (8,1 km), Saint-Florent (8,4 km), Ouzouer-sur-Loire (9,8 km), Saint-Brisson-sur-Loire (10,3 km), Saint-Aignan-le-Jaillard (11,4 km) et Les Choux (11,8 km).

La ligne ferroviaire Orléans – Gien traversait la commune. Elle a été vendue par tronçons aux propriétaires riverains.

À l’ouest le hameau d’Arcole.

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l’ère géologique la plus récente sur l’échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d’années. La formation la plus ancienne est des argiles à silex remontant à l’époque Paléocène de la période Paléogène. La formation la plus récente est des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°400 – Châtillon-Coligny » et « n°432 – Gien » de la carte géologique au 1/50 000 du département du Loiret[8][9] et leurs notices associées,.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 30,75 km[12][Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 30,96 km[9]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 43 mètres. L’altitude du territoire varie entre 117 m et 160 m.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones Spéciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection Spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s’engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d’habitats et d’espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L’objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés,. Les sites Natura 2000 présents sur le territoire communal de Nevoy sont au nombre de deux[INPN 1].

L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Nevoy comprend cinq ZNIEFF :

On trouve Nolvesum au VI siècle, plus tard Nouvet, puis Neuvoy au XVIIIe siècle.

L’histoire de Nevoy commence avec Arcula, petit bourg de pêcheurs et paysans, animé par le passage de voyageurs. Au hameau d’Arcole résidait le gardien du gué empierré qui traverse la Loire en direction de Saint-Gondon. Il devait entretenir le balisage de la voie empierrée. Jusqu’à la Révolution il percevait le péage du gué et aussi la redevance des mariniers qui descendaient ou remontaient le fleuve. Il y a eu un passeur rémunéré qui transportait les piétons d’une rive à l’autre avec son bateau. Son activité a cessé avec le développement de l’automobile.

La première présence militaire à Gien est d’abord celle de l’artillerie lourde en 1914. En 1920 la caserne devient « Parc entrepôt de matériels » dont la mission est la réparation, le stockage et l’approvisionnement en rechanges des premiers chars de combat. Les terrains de l’annexe de stockage de Nevoy sont acquis en deux phases en 1932 et 1952. Les premières constructions ont eu lieu de 1932 à 1938. En 1945, le centre de stockage devient établissement de réserve générale du Matériel Engins Blindés (ERGM/EB).

En 1992, l’établissement est baptisé « Ingénieur Général Béchereau » et devient ETAMAT (Établissement du matériel de l’Armée de terre) en 1994, pour devenir le , détachement de Gien de la 12e base de soutien du Matériel. Toujours annexée au site principal situé à Gien, l’annexe de Nevoy a été utilisée de son acquisition jusqu’à ce jour pour des missions de stockage d’engins blindés et de pièces de rechange ainsi que d’élimination. À partir de 1990, l’activité du site a diminué puis en 2009 l’annexe de Nevoy s’est vue confier de nouvelles méthodes de stockage nécessitant des travaux de construction d’infrastructure et, globalement, un accroissement des moyens techniques et humains. Un atelier de maintenance destiné à la réception des matériels, à la préparation au stockage longue durée et au déstockage a été mis en service en 2012.

En 2015, une aire de stockage de 10 000 m ainsi qu’une aire de dénaturation, c’est-à-dire de démilitarisation de blindés, en majorité des chars de type AMX-30 entre en service[24].

Nevoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Gien, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[28] et 15 178 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Gien dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31][32].

L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (57,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,6 %), terres arables (14,9 %), prairies (12,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7 %), zones urbanisées (3,2 %), eaux continentales (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %)[33].

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, et ce sous peine de ne plus pouvoir ouvrir à l’urbanisation de nouveaux espaces. En effet, dans certaines conditions, en l’absence de SCoT approuvé, les zones naturelles (N) et les zones d’urbanisation future (AU) ne peuvent plus, sauf dérogation, être ouvertes à l’urbanisation. Tel est le principe posé par l’article L.122-2 du Code de l’urbanisme. En application des dispositions de l’article L.122-18 du Code de l’urbanisme, le Schéma Directeur de la Région de Gien approuvé le avait été maintenu avec valeur de Schéma de Cohérence Territoriale. Le Schéma regroupait les communes de Coullons, Gien, Nevoy, Poilly-lez-Gien, Saint-Brisson-sur-Loire, Saint-Gondon, Saint-Martin-sur-Ocre. En l’absence de délibération de la communauté des communes giennoises, dont fait partie Nevoy, sur son évolution à l’échéance du délai de 10 ans à compter du 13 décembre 2000, ce SCot est devenu caduc à compter du 13 décembre 2010.

En se dotant de la compétence « élaboration, gestion et suivi d’un Schéma de Cohérence Territoriale à l’échelle du Pays du Giennois » par arrêté préfectoral du 11 mars 2010, le Syndicat mixte du Pays du Giennois s’engage en faveur d’un projet global d’aménagement et de développement durable du territoire du pays du Giennois. Le schéma de cohérence territoriale du pays giennois, qui regroupe 31 communes dont Gien, a ainsi été prescrit le . Le projet de schéma a été arrêté le 30 juin 2015 puis soumis à l’enquête en octobre 2015 et approuvé le et est opposable depuis le ,.

Nevoy est traversée par trois routes départementales : les RD 952, 953 et 44.

La RD 952 est l’ancienne route nationale 152, qui reliait à sa création en 1824 Briare à Angers, succédant à la route impériale 172. La section entre Briare et Chateauneuf-sur-Loire est déclassée et transférée au département du Loiret par arrêté du 22 décembre 1972. En 2014, elle supporte sur le territoire de la commune un trafic de 5 182 véhicules/jour dans sa partie ouest et 4 960 véhicules/jour dans sa partie est[37]. La RD 953 relie quant à elle Ouzouer-sur-Loire à Gien en longeant la centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly et supporte un trafic de 3 984 véhicules/jour. Les RD 952 et 953 sont classées routes à grande circulation. À ce titre, elles disposent d’une réglementation en matière de police qui leur est propre[39].

Complétant ces voies, la commune est sillonnée de plusieurs voies communales et chemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.

Nevoy est desservie par la ligne régulière du réseau d’autocars interurbains Ulys n° 3, Châtillon-sur-Loire – Orléans, correspondances SNCF à la gare d’Orléans et TAO et Transbeauce à la Gare routière d’Orléans :

Depuis le , la compétence des services de transports routiers interurbains, réguliers et à la demande est transférée des départements aux régions, et donc localement du département du Loiret à la région Centre-Val de Loire, consécutivement à la loi NOTRe du 7 août 2015[41].

La commune de Nevoy est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de la Loire ou de ruisseaux), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique. Elle est également exposée à deux risques technologiques : le risque nucléaire avec la présence de la centrale nucléaire de Dampierre à moins de 10 km et le transport de matières dangereuses.

Entre 1983 et 2016, deux arrêtés ministériels portant ou ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune de Nevoy pour des inondations et coulée de boue.

La Loire est à l’origine des dégâts les plus importants sur la commune en cas de crue majeure. Les crues historiques sont celles de 1846, 1856, 1866 et 1907. Aucune crue n’a atteint depuis 1907 les hauteurs atteintes lors de ces événements catastrophiques. En rive droite, la plaine de Nevoy est soumise à un débordement direct de la Loire dès la crue de période de retour 20 ans, générant une inondation des zones d’enjeux lente et progressive, directement liée au niveau de la Loire[45].

Le risque d’inondation est pris en compte dans l’aménagement du territoire de la commune par le biais de deux Plans de prévention du risque d’inondation (PPRI) : le PPRI du val de Nevoy.

Deux documents permettent de définir les modalités de gestion de crise et d’organisation des secours : au niveau départemental, le Dispositif ORSEC départemental spécialisé déclenché en cas d’inondation de la Loire, le plan ORSIL, et au niveau communal le plan communal de sauvegarde[47].

Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.

Par ailleurs la commune a été reconnue sinistrée au titre des catastrophes naturelles durant ces dernières années à la suite des mouvements de terrain liés à la sécheresse (aléa moyen). Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), hormis le cente-bourg qui est en aléa « faible »[50].

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La totalité de la commune se situe à l’intérieur du périmètre de 10 km du Plan particulier d’intervention de la centrale nucléaire de Dampierre. A ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux résidant dans le périmètre proche de 10 km de la centrale ont bénéficié, à titre préventif, d’une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d’incident ou d’accident nucléaire, la commune peut être considérée, en tout ou partie, comme zone de confinement ou comme zone d’évacuation et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession.

La totalité du département est classée en zone de sismicité « très faible ». À ce titre aucune réglementation spécifique ne s’applique aux constructions dites « à risque normal »[53].

Le risque de transport de matières dangereuses peut survenir en cas d’accident impliquant une unité mobile (ex. camion) ou une canalisation transportant des matières dangereuses (toxique, inflammable…). Une matière dangereuse est une substance susceptible de présenter un danger et des conséquences graves pour l’homme et son environnement. À Nevoy, les facteurs de risque sont :

La paroisse de Nevoy acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[56]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.

Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n’a affecté la commune depuis sa création.

La commune est membre de la communauté des communes giennoises depuis sa création le , une intercommunalité qui remplace le district de Gien, créé par arrêté préfectoral du 3 juillet 1972.

La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Nevoy est alors incluse dans le canton de Gien, le district de Gien et le département du Loiret.

La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[62]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[64], puis l’acte III en 2012-2015.

Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Nevoy aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.

La commune de Nevoy est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.

Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Nevoy, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[82]. Il est composé de 15 membres. L’exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil. Jean-François Darmois est maire depuis 2008.

En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de collecte et de traitement des ordures ménagères des cantons de Gien, Châtillon Coligny, Briare et Châtillon-sur-Loire (SMICTOM). Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles en porte à porte, des emballages ménagers recyclables, des encombrants et du verre en points d’apport volontaire[86]. Un réseau de sept déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche est située sur la commune de Poilly-lez-Gien,. L’élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées par le SYCTOM de Gien-Châteauneuf-sur-Loire qui comprend un centre de transfert de déchets ménagers et un centre de stockage de déchets ultimes (CSDU) de classe II à Saint-Aignan-des-Gués ainsi qu’une usine d’incinération des ordures ménagères à Gien-Arrabloy[89].

Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté des communes giennoises en application de la loi NOTRe du [90].

Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. Au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal sont assurées par la commune elle-même[92]. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l’exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[93][94].

La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est assurée par la communauté des communes giennoises[96]. La commune est raccordée à une station d’épuration située sur le territoire de la commune de Gien, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 30 833 EH, soit 7 000 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d’épuration biologique dit « à boues activées »,.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. La Communauté des communes giennoises a créé un service public d’assainissement non collectif (SPANC) qui a pour missions la vérification de la conception et de l’exécution des ouvrages pour les installations neuves ou réhabilitées et la vérification périodique du bon fonctionnement et de l’entretien des installations existantes[100][101].

Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.). L’observatoire national des services d’eau et d’assainissement publie la description actualisée des services publics d’eau potable et d’assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[103]. Le prix au m est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE).

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[116].

En 2020, la commune comptait 1 164 habitants, en diminution de 0,85 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

La commune est le lieu d’un important rassemblement évangélique tzigane annuel courant avril.

L’église Notre-Dame, remaniée en 1868, contenant un porte cierge du XIII siècle ainsi qu’une cloche datée de 1791, classés Monuments historiques au titre d’objets ; « Le porte-cierge », notice no PM45000422, base Palissy, ministère français de la Culture ; « La cloche », notice n PM45000421, base Palissy, ministère français de la Culture. Consultations : 9 mars 2010.

La commune est située dans la zone de protection spéciale vallée de la Loire du Loiret du réseau Natura 2000.

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