Comment trouver une fuite d’eau sur un toit dans le Loiret ?
Lorsque vous avez une fuite d’eau sur votre toit, il est important de trouver l’origine et de la réparer rapidement afin d’éviter des dégâts plus
Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Pithiviers-le-Vieil ? L’Art du Toit s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Pithiviers-le-Vieil dans le Loiret.
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Vous avez constaté que votre couverture nécessite une remise en état à Pithiviers-le-Vieil ? Vous ignorez comment résoudre ce problème ? Vous envisagez des travaux de couverture ? Rassurez-vous, notre équipe est le couvreur à Pithiviers-le-Vieil qu’il vous faudra !
Avant de commencer une réfection de toiture, notre expert en couverture doit débuter par détecter la cause de l’usure, celle-ci pouvant être tellement variée. Le couvreur va alors mener une vérification visuelle de votre toit par l’intérieur en vue de trouver les espaces où il n’y a pas des ardoises ou tuiles. Puis, il se rendra sur votre toit pour accomplir un constat plus précis de cette couverture. Lors de ce diagnostic, il pourra vous dire les détails des travaux d’entretien de toiture à qu’il peut mettre en place pour garantir son imperméabilité. Ensuite, il vous établira un devis de rénovation de toiture à Pithiviers-le-Vieil. Après après votre consentement, nous pourrons débuter le chantier.
La réfection de toiture peut être totale si elle est intégralement à remplacer. Cela peut se produire si elle est véritablement ancienne ou à la suite de catastrophes naturelles. Dans ce cas, vous devrez faire intervenir votre assureur. Notre entreprise de couverture à Pithiviers-le-Vieil
monte un bâchage d’urgence qui va permettre de couvrir votre toiture de manière provisoire jusqu’à ce qu’on puisse remettre votre toiture intégralement.
Dans le cas d’une réfection de toiture à Pithiviers-le-Vieil
partielle, la réfection la plus fréquente est la rechange de tuiles que ce soit puisqu’elles se sont détachées ou puisque d’autres ont été cassées. Le remplacement de tuiles fait l’objet d’une méthodologie définie bien connue par notre spécialiste couvreur qui connaitra toutes les mesures adéquates pour enlever la tuile à remplacer et poser la tuile neuve en la posant efficacement à toute la couverture afin que le tout devienne robuste et étanche.
Il y a à la pointe de votre toiture une ligne de tuiles dénommée faîtage. La remise à neuf de toit concerne celui-ci quand il est endommagé ou qu’il qu’il bouge en cas de vent. Notre artisan couvreur à Pithiviers-le-Vieil a des suggestions à vous donner pour que cela ne revienne plus.
Par ailleurs, outre le changement de tuiles, la réparation de toiture à Pithiviers-le-Vieil
peut aussi concerner les éléments mis en place sur le toit. Alors notre entreprise de couverture peut effectuer la rénovation d’une couche de cheminée, réparer une fuite sur cette dernière ou encore rétablir le système d’étanchéité lorsque elle est remise en cause par une mauvaise jonction entre les ouvertures de toit ou entre des plaques solaires et la couverture. Il entreprendra tous les services de zinguerie indispensables.
Aussitôt que votre toiture se dégrade, rejoignez notre établissement de revêtement de toiture pour que les travaux soient effectués rapidement. Cela vous permettra d’éviter d’avoir une facture de réfection de toit à Pithiviers-le-Vieil avec un prix trop supérieur !
Pithiviers-le-Vieil est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.
Pithiviers-le-Vieil inclut, depuis 1973, Bouzonville-en-Beauce, qui n’a plus désormais que le statut de commune associée. Les données géographiques (superficie, altitudes, coordonnées) concernent l’ensemble. Les données démographiques sont également globalisées depuis 1973.
La commune de Pithiviers-le-Vieil se trouve dans le quadrant nord du département du Loiret, dans la région agricole de la Beauce riche,. À vol d’oiseau, elle se situe à 36,4 km d’Orléans[4], préfecture du département, à 3,7 km de Pithiviers, sous-préfecture, et ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Pithiviers[3].
Les communes les plus proches sont : Escrennes (3,6 km), Pithiviers (3,7 km), Dadonville (4,6 km), Laas (4,7 km), Ascoux (4,9 km), Bondaroy (5 km), Guigneville (5,5 km), Mareau-aux-Bois (6,8 km), Bouzonville-aux-Bois (6,9 km) et Châtillon-le-Roi (7,5 km).
Situé dans le bassin parisien, le territoire est inclus dans le périmètre de l’ancien lac de Beauce. Les formations géologiques calcaires datent d’il y a environ 23 à 20 millions d’années, au début du Miocène, période de l’ère géologique actuelle. Elles sont très homogènes sur tout le territoire, les roches issues des dépôts de sédiment successifs au sein du lac n’ayant pas été déformées par d’autres phénomènes géologiques majeurs.
Sur le territoire communal, l’altitude varie de 98 au sud à 132 mètres au nord.
Le réseau hydrographique communal est constitué d’un seul cours d’eau, l’Essonne (4,738 km). D’une longueur totale de 97,1 km, l’Essonne prend sa source dans la commune de Chilleurs-aux-Bois et se jette dans la Seine à Corbeil-Essonnes, après avoir traversé 44 communes[8]. Sur le plan piscicole, l’Essonne est classé en deuxième catégorie piscicole. L’espèce biologique dominante est constituée essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche).
Le climat de la commune est tempéré et océanique dit dégradé, ou à nuance continentale. La commune se situe à une quarantaine de km au nord de la Loire, qui constitue une frontière naturelle pour les nuages (orages). L’hiver est doux, mais avec une période de gel, l’été peut être chaud. Une station est présente sur le territoire communal.
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Pithiviers-le-Vieil comprend une ZNIEFF.
La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 2, dénommée Bois de Bel Ebat, d’une superficie de 362 hectares, se situe dans la frange nord-ouest de la commune[11]. Son altitude varie entre 116 et 128 m. Il s’agit d’un boisement assez vaste d’un seul tenant, composé de chênaies-charmaies calcaires et de quelques pinèdes situé en contexte de Champagne beauceronne et classé à l’origine pour son intérêt faunistique[13].
La commune de Pithiviers-le-Vieil est intégrée depuis 2004 au réseau Natura 2000. Le site «Vallée de l’Essonne et vallons voisins», qui concerne 19 communes du Loiret, est en effet déclaré que site d’importance communautaire (SIC) au titre de la directive directive habitats (92/43/CEE) le puis zone spéciale de conservation (ZSC) le [15][16].
Le site, très éclaté, se compose d’une multitude d’îlots plus ou moins isolés, qui se répartissent sur une surface de plus de 60 000 hectares, entre la vallée de la Juine à l’ouest et la vallée de l’Essonne à l’est, dans la petite région naturelle du Pithiverais. Le site lui-même ne couvre qu’une surface de 969 hectares. Il s’agit d’un ensemble formé par les coteaux et les vallées qui constituent l’entité la plus étendue et la plus remarquable du Loiret au titre de la flore calcicole. On recense plusieurs espèces végétales en limite de leur aire de répartition (cardoncelle douce, baguenaudier). Les fonds de vallée de la ZSC renferment plusieurs vastes mégaphorbiaies et stations marécageuses[18]. Outre les espèces thermophiles des pelouses, sont intégrées au site des espèces est-européennes également en limite d’aire de répartition comme l’inule hérissée et les pétasites. De manière complémentaire dans l’intérêt floristique, un très important cortège mycologiques, lichenique et entomologique a été identifié.
Selon le FSD (Formulaire Standard des Données), le site Natura 2000 est occupé par une diversité d’habitats inscrits a l’annexe 1, dont on retiendra tout particulièrement les pelouses sèches seminaturelles et faciès d’embroussaillement sur calcaire. La présence de populations d’espèces d’insectes inscrites à l’annexe II de la directive 92/43/CEE comme le lucane cerf-volant (Lucanus cervus) ou l’écaille chinée (Euplagia quadripunctaria) et de poissons comme le chabot commun (Cottus gobio), la bouvière (Rhodeus amarus ) ou la lamproie de Planer (Lampetra planeri) caractérisent le site[18].
Le secteur de Pithiviers-le-Vieil comprend plusieurs noyaux du site Natura 2000. Au droit du hameau de Montvilliers (commune d’Escrennes, en limite de Pithiviers-le-Vieil) et le long de l’aérodrome, se rencontrent des formations à genévrier commun et des pelouses sèches sur calcaire. Au droit du hameau du Boulay et à l’est de l’agglomération de Pithiviers-le-Vieil, le long de l’Essonne, sont présents des noyaux de forêt à aulne glutineux et frêne,.
Pithiviers-le-Vieil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Pithiviers, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24][25].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (83,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,6 %), forêts (7,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,9 %), zones urbanisées (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), eaux continentales (1,3 %)[26].
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
Pithiviers le vieil compte plusieurs lieux-dits : Gourvilliers situé à 1 km du vieux bourg ; Fresnay-les-Chaumes ; Ormes ; Bouzonville-en-Beauce ; Morailles.
La commune prescrit l’élaboration d’un plan d’occupation des sols en . Le document est approuvé en et révisé en et .
La loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains du , dite loi SRU, complétée par la loi urbanisme et habitat du , marque une évolution de la planification urbaine en créant notamment les plans locaux d’urbanisme (PLU), vecteurs de projets de territoire, appelés à se substituer progressivement aux plans d’occupation des sols. Le PLU contient deux éléments nouveaux par rapport au POS : le plan d’aménagement et de développement durable (PADD), qui exprime le projet de la ville par des orientations générales en matière d’urbanisme, de développement, d’équipement et de préservation de l’environnement et les orientations d’aménagement et de programmation (OAP) qui correspondent à des zooms qui peuvent porter sur des quartiers ou secteurs à mettre en valeur, réhabiliter, restructurer ou aménager, ou sur l’aménagement d’un espace public, etc. Dans ce cadre le conseil municipal prescrit l’élaboration d’un plan local d’urbanisme le . Après l’enquête publique qui s’est déroulée du au , le document est approuvé le ,. Le , le conseil municipal décide de réviser ce document[29].
La commune est traversée par sept routes départementales : la RD 2152, la RD 928, la RD 927, la RD 921, la RD 834, la RD 22 et la RD 723.
La RD 2152, qui traverse l’agglomération pithiveraine et la partie sud de Pithiviers-le-Vieil et relie Malesherbes à Tavers, correspond à l’ancienne route nationale 152. À sa création, en 1824, la RN 152 succède à la Route impériale 172 et relie Briare à Angers par la rive droite de la Loire. La route est déclassée en 1972 en RD 952 entre Briare et Châteauneuf-sur-Loire et, en contrepartie, elle récupère l’ancienne section de la RN 51 entre Orléans et Fontainebleau[31]. En 2014, elle supporte un trafic de 6 183 véhicules/jour.
La RD 921, dont la section traversant la commune dans sa partie nord-est relie celle-ci à Rouvres-Saint-Jean, est l’ancienne route nationale 721, qui reliait avant 1973 Étampes (RN20), Pithiviers, Jargeau et La Ferté-Saint-Aubin (RN20). Elle a été transférée au département du Loiret par arrêté du . En 2014, elle supporte dans la section se connectant à l’agglomération un trafic de 8 070 véhicules/jour[32].
La RD 928 constitue la déviation de Pithiviers et supporte 8 902 véhicules/jour. La RD 927, qui relie Pithiviers-le-Vieil à Tivernon, est l’ancienne RN 827 qui, créée en 1933, reliait Pithiviers au Mans par Châteaudun[33]. La RD 22 relie Pithiviers à Andonville et supporte 2 183 véhicules/jour . La RD 834 (551 véhicules/jour) relie la commune Bazoches-les-Gallerandes. La RD 723 (432 véhicules/jour) relie la RD 22 à la RD 921.
Complétant ces voies, la commune est sillonnée de plusieurs voies communales et chemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.
En 2016, Pithiviers-le-Vieil est desservie par la ligne régulière n°24 du réseau d’autocars interurbains Ulys qui relie Outarville à Pithiviers. Cette ligne propose un nombre de dessertes variable en fonction des jours ouvrables de la semaine[35]. À compter du , la compétence des services de transports routiers interurbains, réguliers et à la demande est transférée des départements aux régions, et donc localement du département du Loiret à la région Centre-Val de Loire, consécutivement à la loi NOTRe du [36].
Les lignes ferroviaires Les Aubrais – Malesherbes et Étampes – Beaune-la-Rolande traversent le territoire de la commune.
L’ancienne ligne de chemin de fer, construite en 1892, qui supportait le tramway de Pithiviers à Toury (TPT) et reliait les communes de Pithiviers dans le département du Loiret et de Toury dans le département d’Eure-et-Loir traverse également la commune. Le transport des marchandises a cessé après la saison betteravière en novembre 1964. Un chemin de fer touristique a été mis en service en 1967 et constitue le plus ancien de France encore en activité.
Le GR 32 passe dans le sud de la commune, le long de la rivière.
La commune de Pithiviers-le-Vieil est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses. Entre 1989 et 2019, un arrêté ministériel ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle a été pris pour le territoire de la commune pour des inondations et coulées de boues[39].
Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.
Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sècheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sècheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. Une grande partie sud du territoire de la commune est exposée à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[42].
Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[39].
La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d’une canalisation de gaz et d’itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (les routes départementales D 921, D 2152 et D 950)[38][45].
La source de Segrait a été plusieurs fois citée dans différents poèmes et autres chansons. La découverte fortuite en 1987 de thermes gallo-romains mis au jour lors de travaux d’aménagement urbain démontre une continuité de présence depuis le III siècle.
La paroisse de Pithiviers le Vieil acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[47]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.
La commune absorbe Bouzonville-en-Beauce en 1972.
La commune est membre de la communauté de communes Le Cœur du Pithiverais depuis sa création le [50] jusqu’au , date à partir de laquelle elle fait partie de la communauté de communes du Pithiverais.
La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe), visant une réduction du nombre d’intercommunalités en France, fait en effet passer le seuil démographique minimal de 5 000 à 15 000 habitants, sauf exceptions, et a un impact sur les périmètres des différentes intercommunalités. Le schéma départemental de coopération intercommunale du Loiret est arrêté sur ces bases le et le nombre d’établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre passe dans le département du Loiret de 28 (2 communautés d’agglomération et 26 communautés de communes) à 16 (deux communautés d’agglomération et 14 communautés de communes dont une interdépartementale). Les communautés de communes de Beauce et du Gâtinais, du Cœur du Pithiverais et du Plateau Beauceron fusionnent ainsi à compter du en une seule entité : la communauté de communes du Pithiverais, dont le siège est à Pithiviers. Cette nouvelle intercommunalité comprend 31 communes dont Pithiviers-le-Vieil.
La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Pithiviers le Vieil est alors incluse dans le canton de Pithiviers, le district de Pithiviers et le département du Loiret.
La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[55]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[57], puis l’acte III en 2012-2015.
Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Pithiviers-le-Vieil aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.
La commune de Pithiviers-le-Vieil est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.
Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Pithiviers-le-Vieil, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[75]. Il est composé de 19 membres. L’exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil. Philippe Chaline est maire depuis 2001.
En 2016, la commune est membre du SITOMAP de la région Pithiviers, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[79]. Un réseau de huit déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche de la commune est située sur la commune de Pithiviers. L’élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées dans l’outil de traitement appelé BEGEVAL[81], installé à Pithiviers et géré par le syndicat de traitement Beauce Gâtinais Valorisation (BGV) qui regroupe le territoire des trois syndicats de collecte : SMETOM, SITOMAP et SIRTOMRA. Cet outil est composé d’un centre de valorisation matière qui trie les emballages issus de la collecte sélective, les journaux-magazines et les cartons de déchèteries, et d’un centre de valorisation énergétique qui incinère les ordures ménagères résiduelles et le tout-venant incinérable des déchèteries ainsi que les refus du centre de tri.
Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes du Pithiverais en application de la loi NOTRe du [83].
Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. Au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal sont assurées par la commune elle-même[85]. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l’exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[86][87].
La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est assurée par la commune elle-même[89]. La commune est raccordée à une station d’épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 1 500 EH, soit 225 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d’épuration biologique dit « à boues activées »,.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. La Communauté de communes de Beauce et du Gâtinais a créé en 1999 un service public d’assainissement non collectif (SPANC) qui a pour missions la vérification de la conception et de l’exécution des ouvrages pour les installations neuves ou réhabilitées et la vérification périodique du bon fonctionnement et de l’entretien des installations existantes[93][94]. Depuis le , c’est la communauté de communes du Pithiverais qui assure ce service, à la suite de la fusion des communautés de communes de Beauce et du Gâtinais, du Cœur du Pithiverais et du Plateau Beauceron.
Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.). L’observatoire national des services d’eau et d’assainissement publie la description actualisée des services publics d’eau potable et d’assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[96]. Le prix au m est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE).
Les lycées se situent à Pithiviers.
L’hôpital le plus proche est à Pithiviers.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[109].
En 2020, la commune comptait 1 747 habitants, en diminution de 3,43 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
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