Réparation de Toiture Saint-Cyr-en-Val (45590)

Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Saint-Cyr-en-Val ? L’Art du Toit s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Saint-Cyr-en-Val dans le Loiret.

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La Réparation de votre revêtement de toiture est notre raison d’être à Saint-Cyr-en-Val, 45590

Vous avez remarqué que votre couverture requiert une réparation à Saint-Cyr-en-Val ? Vous ignorez comment résoudre ce problème ? Vous prévoyez des prestations de couverture ? Soyez rassuré, nous sommes le couvreur à Saint-Cyr-en-Val qui vous convient !

toiture endommagée réparé Saint-Cyr-en-Val

Nous remettons en état tout type de toiture à Saint-Cyr-en-Val


Avant d’effectuer une remise en état de toit, notre artisan couvreur doit commencer par diagnostiquer la cause du problème, celle-ci pouvant être vraiment différente. Le couvreur doit alors faire un contrôle visuel de votre revêtement par l’intérieur dans le but de situer les surfaces où il n’existe pas des ardoises ou tuiles. Ensuite, il se rendra sur votre toit pour une évaluation plus minutieuse de ce recouvrement. Lors de cette évaluation, il vous précisera quels sont les travaux de réfection de toit à qu’il peut mener pour assurer son système d’étanchéité. Puis, il vous remettra un devis de réfection de revêtement de toiture à Saint-Cyr-en-Val. Après après votre acceptation, nous pourrons débuter la prestation.

La remise à neuf de toiture sur Saint-Cyr-en-Val

 

La réparation de toiture peut être complète lorsqu’elle est complètement à refaire. Cela peut se faire si elle est vraiment vétuste ou suite à des fléaux naturels. Dans ce cas, il vaut mieux contacter votre assureur. Notre société de couverture à Saint-Cyr-en-Val
met donc en place un système de protection d’urgence qui sert à fortifier votre toiture de façon provisoire jusqu’à ce qu’on puisse refaire votre toit de manière intégrale.

Dans le cas d’une réfection de toit dans la ville de Saint-Cyr-en-Val
partielle, la réfection usuelle est le remplacement de tuiles que ce soit parce qu’elles se sont envolées ou puisque certaines ont été cassées. Le remplacement de tuiles est soumis à une procédure définie parfaitement connue par notre artisan couvreur qui prendra toutes les précautions utiles pour retirer celle à changer et mettre en place la nouvelle tuile en la fixant parfaitement à toute la couverture de manière que le tout devienne dur et hermétique.
Vous retrouverez à la pointe de votre toiture une ligne de tuiles appelée faîtage. La modernisation de toit concerne celui-ci quand il est endommagé ou qu’il se soulève dès qu’il y a vent. Notre spécialiste couvreur sur Saint-Cyr-en-Val a des suggestions à vous prodiguer pour que cela ne se reproduise plus.

Réparation des différents éléments sur votre toit

couvreur à Saint-Cyr-en-Val réparant la toiture en tuile

Par ailleurs, outre le remplacement de tuiles, la réparation de toiture sur Saint-Cyr-en-Val
peut aussi concerner les éléments mis en place sur la toiture. C’est ainsi que notre compagnie de toiture peut effectuer la remise à neuf d’une pièce de cheminée, boucher une fuite sur cette dernière ou encore remettre le système d’étanchéité lorsque elle est endommagée par une insuffisante connexion entre la fenêtre de toit ou entre des panneaux photovoltaïques et la toiture. Il réalisera tous les services de zinguerie nécessaires.
Dès que votre toit vieillit, faîtes confiance à notre entreprise de couverture de sorte que les travaux soient terminés dans le plus bref délai. Cela vous évitera de recevoir un devis de réparation de toiture à Saint-Cyr-en-Val avec un tarif véritablement cher !

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À propos de Saint-Cyr-en-Val

Saint-Cyr-en-Val est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

La commune de Saint-Cyr-en-Val se trouve dans le quadrant sud-ouest du département du Loiret, dans la région agricole de la Sologne et l’aire urbaine d’Orléans[3]. À vol d’oiseau, elle se situe à 9,3 km d’Orléans, préfecture du département, et à 6,9 km de Saint-Jean-le-Blanc, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie d’Orléans[3].

Les communes les plus proches sont : Sandillon (5,1 km), Saint-Denis-en-Val (5,3 km), Olivet (6,2 km), Saint-Jean-le-Blanc (6,9 km), Bou (7,5 km), Combleux (7,8 km), Chécy (8 km), Saint-Jean-de-Braye (8,2 km), Marcilly-en-Villette (8,4 km) et Mardié (9 km).

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l’ère géologique la plus récente sur l’échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d’années. La formation la plus ancienne est du calcaire de Pithiviers remontant à l’époque Miocène de la période Néogène. La formation la plus récente est des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°398 – La Ferté-Saint-Aubin » de la carte géologique au 1/50 000 du département du Loiret[7][8] et sa notice associée.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 44,23 km[10][Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 44,42 km[8]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 34 mètres. L’altitude du territoire varie entre 92 m et 126 m.

Les cours d’eau passant par le territoire de la commune sont le Dhuy; et un ruisseau, le Morchêne Rau, qui se jette dans le Dhuy à proximité du centre-bourg. On peut noter que la source du Loiret était sur le territoire de la commune jusqu’en 1959 (voir section « Histoire »).

Saint-Cyr-en-Val possède un climat tempéré de type océanique dégradé se caractérisant par des hivers doux (3 à °C) et pluvieux, et des étés frais (16 à 18 °C) et relativement humides. La température moyenne est de 10 à 11 °C sur l’année.

La Chalotière, la Commanderie, Saint-Benoît, la Petite-Mérie, Gautray, la Gare.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones Spéciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection Spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s’engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d’habitats et d’espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L’objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés,.

Un site Natura 2000 est présent dans la partie sud du territoire communal de Saint-Cyr-en-Val : la « Sologne », qui a été désignée SIC par arrêté du 26 octobre 2009[16] et est codée FR2402001. D’une superficie totale de 346 184 ha, elle constitue une vaste étendue émaillée d’étangs, située en totalité sur les formations sédimentaires du burdigalien. L’agriculture est en recul et on observe une fermeture des milieux naturels (landes). Plusieurs ensembles naturels de caractère différent se distinguent sur ce site :

L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Saint-Cyr-en-Val comprend une ZNIEFF dénommée « Étang des Terres noires ». De type 1[Note 2] et d’une superficie de 2 hectares, elle est située à deux kilomètres au sud du bourg de Saint-Cyr-en-Val. Son altitude varie entre 112 et 115 m[INPN 4]. Il s’agit d’un plan d’eau alimenté par le Morchêne, dont les traces les plus anciennes (photographie aérienne) remontent à 1950. Deux types d’habitats intéressants s’y distinguent : des petites saussaies marécageuses abritant la fougère des marais (Thelypteris palustris), espèce protégée en région Centre-Val de Loire, et une jonchaie haute contenant une population de grande douve (Ranunculus lingua), espèce protégée au niveau national).

Ville fleurie : quatre fleurs attribuées par le conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris depuis 2005,.

La commune doit pour partie son nom à saint Cyr, jeune martyr chrétien du IV siècle, fils de sainte Julitte.

Une occupation datant du Néolithique a été retrouvée.

Des chanoines du chapitre de l’église Saint-Pierre-le-Puellier d’Orléans s’installent en 1002. L’occupation civile est centrée sur le château de la Mothe.

Le , Jeanne d’Arc traverse ses terres au lieu-dit Saut de la Puce, afin de délivrer Orléans.

Entre le 29 janvier et le 8 février 1939, plus de 2 800 réfugiés espagnols fuyant l’effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent dans le Loiret. Devant l’insuffisance des structures d’accueil d’Orléans, 46 centres d’accueil ruraux sont ouverts, dont un à Saint-Cyr-en-Val[20]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, et le ravitaillement, s’il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, ceux préférant rester sont regroupés au camp de la verrerie des Aydes, à Fleury-les-Aubrais[20].

En 1959, Saint-Cyr-en-Val cède à Orléans, pour le franc symbolique, des terrains à l’ouest de la commune, les domaines de la Source et de Concyr, permettant ainsi la construction du quartier d’Orléans-la-Source.

Saint-Cyr-en-Val est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine d’Orléans, une agglomération intra-départementale regroupant 19 communes[25] et 282 269 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction d’Orléans dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28][29].

L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (59 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,3 %), forêts (32,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), prairies (4,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,6 %), zones urbanisées (4,3 %), cultures permanentes (3,4 %).

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].

L’accès à la commune se fait notamment par la D2020 (ex-nationale 20) en venant d’Orléans ou du sud ; et par la D 14 (axe ouest-nord-ouest; est – sud-est) en venant de Vienne-en-Val ou d’Olivet.

La commune dispose d’une gare SNCF (gare de Saint-Cyr-en-Val – La Source), sur la ligne des Aubrais – Orléans à Montauban-Ville-Bourbon, qui dessert Saint Cyr en Val et le quartier d’Orléans-La Source. La gare est desservie par des trains TER Centre-Val de Loire entre Orléans et Châteauroux, Bourges et Nevers. De plus, il existe une liaison TER-bus entre la gare de Saint-Cyr-en-Val – La Source et Orléans, qui permet de voyager entre ces deux gares avec un titre de transport en commun TAO.

La commune est desservie par la ligne 5 du réseau Rémi. Elle est située à la limite sud du réseau TAO, et est desservie par les lignes 7, 13, 26 et 28.

La commune de Saint-Cyr-en-Val est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de la Loire ou de ruisseaux), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique. Elle est également exposée à un risque technologique : le transport de matières dangereuses. Entre 1985 et 2016, six arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune de Saint-Cyr-en-Val dont trois pour des inondations et coulées de boue et trois pour des mouvements de terrain[32].

La Loire est à l’origine des dégâts les plus importants sur la commune en cas de crue majeure. Les crues historiques sont celles de 1846, 1856, 1866 et 1907. Aucune crue n’a atteint depuis 1907 les hauteurs atteintes lors de ces événements catastrophiques.

La zone inondable de la commune de Saint-Cyr-en-Val couvre une surface de 1 353 hectares, soit 32 % du territoire communal. Cette zone se répartit en 1 142 ha en espaces agricoles, 81 ha en espaces naturels, 43 ha en serres et 87 ha en surfaces urbanisées. 824 personnes résident dons cette zone[35]. Elle fait partie du val d’Orléans qui s’étend sur 33 km de longueur, du hameau de Bouteille à l’amont au confluent du Loiret à l’aval, et couvre une partie du territoire de la commune. Ce val est protégé par une levée en terre, la levée d’Orléans, de 45 km de longueur, interrompue à 3,5 km environ en amont du confluent du Loiret. Il est inondé par le remous de la Loire dans la confluence du Loiret dès les premières crues simulées[37]. Cette levée a été renforcée sur toute sa longueur. Le niveau de protection historique est celui visé par la construction du déversoir de Jargeau, aménagé à la fin du XIX siècle à l’emplacement des brèches qui s’étaient produites en 1846, 1856 et 1866 et conçu initialement pour fonctionner au-delà de la cote de Loire à l’échelle d’Orléans proche de 6 m (crue de 1825, n’ayant pas occasionné de brèches). Les lignes d’eau en crue ont toutefois beaucoup changé depuis du fait de l’évolution morphologique du lit de la Loire, conséquence des ouvrages de navigation qui ont été réalisés au XIXe siècle et de l’extraction massive de matériaux en deuxième partie du XX siècle. Le déversoir ne remplit donc plus sa fonction de protéger la levée d’Orléans des surverses et il ne permet plus de définir l’objectif de protection du système d’endiguement[38].

L’analyse menée dans le cadre de l’étude de danger des digues, montre qu’aujourd’hui, le niveau de protection apparent de la levée est associé à une crue de période de retour d’environ 200 ans, soit une hauteur d’eau à l’échelle d’Orléans estimée à 5,75 m. Les zones de surverses probables mises en évidence se situent de l’amont vers l’aval, à Guilly, Tigy et Saint-Denis-en-Val (lieu-dit de Château Lumina)[39]. Par ailleurs, ces études montrent aussi que des défaillances avant dépassement des ouvrages sont probables, en particulier à Guilly, Tigy et Saint-Pryvé-Saint-Mesmin. Pour le secteur de Guilly, la probabilité de rupture n’est plus négligeable dès la crue de période de retour de 70 ans, soit une cote d’environ 4,60 m à l’échelle d’Orléans. Cette cote définit le niveau de sûreté actuel de la digue d’Orléans et correspond au seuil de déclenchement du plan d’évacuation massive de l’agglomération d’Orléans en cas de crue.

Le risque d’inondation est pris en compte dans l’aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du val d’Orléans – val amont, approuvé le . Deux documents permettent de définir les modalités de gestion de crise et d’organisation des secours : au niveau départemental, le Dispositif ORSEC départemental spécialisé déclenché en cas d’inondation de la Loire, le plan ORSIL[Note 5], et au niveau communal le plan communal de sauvegarde.

Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.

Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. La totalité du territoire de la commune est soumis à un aléa « faible » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[44].

Le risque de transport de matières dangereuses peut survenir en cas d’accident impliquant une unité mobile (ex. camion) ou une canalisation transportant des matières dangereuses (toxique, inflammable…). Une matière dangereuse est une substance susceptible de présenter un danger et des conséquences graves pour l’homme et son environnement. À Saint-Cyr-en-Val, le facteur de risque prépondérant est le transport routier empruntant la RD 2020.

La paroisse de Saint Cir en Val acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[46]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.

Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n’a affecté la commune depuis sa création.

La commune est membre de la Communauté de l’Agglomération orléanaise depuis sa création le . Cette communauté de communes devient communauté d’agglomération Orléans Val de Loire le 27 décembre 2001 puis communauté urbaine à compter du , sous la dénomination Orléans Métropole, et enfin métropole avec la même dénomination à compter du .

Sous l’Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Saint Cir en Val était rattachée sur le plan ecclésiastique à l’ancien diocèse d’Orléans, sur le plan judiciaire au bailliage d’Orléans , sur le plan militaire au gouvernement d’Orléans et sur le plan administratif à la généralité d’Orléans, élection d’Orléans,.

La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Saint Cir en Val est alors incluse dans le canton de La Ferté-Saint-Aubin, le district d’Orléans et le département du Loiret.

La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[56]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[58], puis l’acte III en 2012-2015.

Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Saint-Cyr-en-Val aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.

La commune de Saint-Cyr-en-Val est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.

Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Saint-Cyr-en-Val, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[76]. Il est composé de 23 membres. L’exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil. Vincent Michaut est maire depuis 2020.

Drapeau de l'Allemagne Bliesen, Saint-Wendel (Allemagne) depuis 1993

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[85].

En 2020, la commune comptait 3 313 habitants, en augmentation de 1,78 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. La commune assurait jusqu’au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal. La gestion de l’eau étant une compétence obligatoire des communautés urbaines[90] et des métropoles, la communauté urbaine Orléans Métropole s’est substituée à la commune pour la mise en œuvre du service public d’eau potable lors de la transformation de la communauté d’agglomération Val de Loire en communauté urbaine le , puis c’est la métropole Orléans Métropole le qui a pris cette compétence. La ville de Saint-Cyr-en-Val dispose de quatre forages sur sa commune et est principalement alimentée en eau potable par le forage de La Jonchère, mis en service en 1985, pompant l’eau dans la nappe souterraine des calcaires d’Étampes[92].

La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est assurée depuis le par la Communauté de l’Agglomération Orléans Val de Loire, puis le par la communauté urbaine et enfin depuis le par Orléans Métropole.

Depuis le , Orléans Métropolee exploite en régie directe les réseaux et ouvrages d’assainissement de 10 communes du territoire métropolitain dont Saint-Cyr-en-Val et d’une partie d’Orléans[95]. Le réseau comprend un réseau unitaire (eaux usées + eaux pluviales) de 4 312 ml, un réseau séparatif eaux usées de 14 042 ml et un réseau d’eaux pluviales de 12 690 ml. Sur la commune, on compte 17 stations de relevage pour les eaux usées et 4 pour les eaux pluviales. Ces stations peuvent contenir de une à quatre pompes dont les puissances peuvent varier de 1,3 kW à 140 kW (soit de 3 l/s à 450 l/s)[96].

Un zonage d’assainissement, qui délimite les zones d’assainissement collectif, les zones d’assainissement non collectif et le zonage pluvial a été réalisé par l’AgglO et a été approuvé par délibération du conseil de communauté du [98]. La commune est raccordée à la station d’épuration de l’Île Arrault. Cet équipement, dont la capacité est de 95 000 EH, est le deuxième le plus important sur le territoire d’Orléans Métropole et a été mis en service le . Son exploitation est assurée depuis mai 2016 en régie par les services d’Orléans Métropole[95].

Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine…) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets…). L’observatoire national des services d’eau et d’assainissement publie la description actualisée des services publics d’eau potable et d’assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[102]. Le prix au m est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE).

La collecte, le traitement et la valorisation des déchets est une compétence exclusive de la communauté urbaine Orléans Métropole depuis 2000 (l’intercommunalité était alors communauté de communes). La collecte des déchets ménagers (résiduels et multimatériaux) est effectuée en porte-à-porte sur toutes les communes de la communauté urbaine, Un réseau de six déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, cartons…)[116].

Une unité de traitement permettant la valorisation énergétique (l’incinération des déchets ménagers résiduels) et la valorisation matière des autres déchets (corps creux, corps plats et multimatériaux) est en service sur la commune de Saran depuis 1996. Elle est exploitée par la société ORVADE, filiale du groupe Veolia.

Saint-Cyr-en-Val est située dans l’académie d’Orléans-Tours et dans la circonscription d’Orléans-Sud. La commune possède une école maternelle et une école primaire.

La commune conserve une activité agricole : pépiniéristes, cultures maraîchères.

Une zone industrielle s’est développée au sud de la ville : le parc d’activité de la Saussaye.

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 43 842 €, ce qui plaçait Saint-Cyr-en-Val au 1 093 rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[119].

La fête de Saint-Sulpice a lieu chaque année en septembre depuis 1953.

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