Comment trouver une fuite d’eau sur un toit dans le Loiret ?
Lorsque vous avez une fuite d’eau sur votre toit, il est important de trouver l’origine et de la réparer rapidement afin d’éviter des dégâts plus
Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Vienne-en-Val ? L’Art du Toit s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Vienne-en-Val dans le Loiret.
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Vous avez remarqué que votre toiture vieillit à Vienne-en-Val ? Vous ignorez comment réparer cela ? Vous prévoyez des prestations de couverture ? Aucun souci, notre équipe est le couvreur à Vienne-en-Val qui vous convient !
Avant d’accomplir une réparation de toiture, notre professionnel en couverture doit commencer par déterminer la source du dommage, celle-ci pouvant être tellement variée. Il va ainsi effectuer une vérification visuelle de votre toit par l’intérieur dans le but de repérer les surfaces où il n’y a pas des ardoises ou tuiles. Ensuite, il montera sur votre toit pour réaliser une évaluation plus minutieuse de celui-ci. À l’issue de ce diagnostic, il vous précisera la liste des travaux d’entretien de toiture à qu’il peut réaliser pour rétablir son système d’étanchéité. Et ensuite, il vous fournira un devis de rénovation de toiture à Vienne-en-Val. En conséquence après votre consentement, nous pourrons démarrer la prestation.
La rénovation de toiture se fait d’une manière totale au cas où elle est intégralement à refaire. Cela peut être le cas lorsqu’elle est vraiment vétuste ou après des phénomènes météorologiques. Dans ce cas, il vaut mieux consulter votre société d’assurance. Notre entreprise de toiture à Vienne-en-Val
met donc en place un système de protection d’urgence qui va permettre de protéger votre toit de manière temporaire jusqu’à ce qu’on puisse refaire votre toit de manière intégrale.
Dans le cadre d’une rénovation de toit dans la ville de Vienne-en-Val
partielle, la remise en état la plus fréquente est le remplacement de tuiles que ce soit parce qu’elles se sont enlevées ou parce que d’autres sont brisées. Le changement de tuiles fait l’objet d’une technique déterminée bien connue par notre artisan couvreur qui prendra toutes les mesures appropriées pour ôter la toiture à remplacer et mettre en place la tuile neuve en l’intégrant d’une manière parfaite à toute la couverture de sorte que le tout soit robuste et imperméable.
Vous retrouverez à la pointe de votre toit une ligne de tuiles que l’on appelle faîtage. La rénovation de toit concerne ce dernier quand il est abîmé ou qu’il se soulève en cas de vent. Notre artisan couvreur sur Vienne-en-Val a des solutions à vous apporter afin que cela ne se manifeste plus.
Par ailleurs, en plus du remplacement de tuiles, la réparation de toit sur Vienne-en-Val
pourra également toucher les éléments posés sur la toiture. C’est dans ce cadre que notre entreprise de toiture peut réaliser la rénovation d’une couche de cheminée, réparer une fuite sur celle-ci ou encore rétablir l’étanchéité quand elle est menacée par une imparfaite connexion entre les ouvertures de toit ou entre des plaques solaires et le toit. Il entreprendra tous les services de zinguerie nécessaires.
Lorsque votre toit vieillit, rejoignez notre société de couverture de manière que les projets soient entrepris rapidement. Cela vous permettra d’éviter de recevoir un devis de réfection de toiture sur Vienne-en-Val avec un chiffre véritablement supérieur !
Vienne-en-Val est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.
La commune de Vienne-en-Val se trouve dans le quadrant sud-ouest du département du Loiret, dans la région agricole de la Sologne et l’aire urbaine d’Orléans[3]. À vol d’oiseau, elle se situe à 20,5 km d’Orléans, préfecture du département, et à 7,3 km de Jargeau, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Jargeau[3].
Les communes les plus proches sont : Férolles (4,2 km), Tigy (4,7 km), Ouvrouer-les-Champs (4,8 km), Jargeau (7,3 km), Darvoy (7,4 km), Sigloy (7,6 km), Saint-Denis-de-l’Hôtel (8 km), Neuvy-en-Sullias (8,2 km), Sandillon (9 km) et Marcilly-en-Villette (9,4 km).
Les Cailloux, Courcelle, les Haies, les Hâtiers, les Marnes, la Maugerie, la Motte, les Prateaux, la Violière, le lotissement de Rigotte et le Colombier.
Elle est divisée en deux parties : le nord appartient au Val de Loire composé essentiellement de cultures et traversé par la rivière Dhuy appelée Bergeresse au niveau de Vienne-en-Val ; le sud appartient à la région naturelle de Sologne où la forêt est prédominante et où l’on compte un grand nombre d’étangs.
La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l’ère géologique la plus récente sur l’échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d’années. La formation la plus ancienne est des sables et argiles de Sologne remontant à l’époque Miocène de la période Néogène. La formation la plus récente est des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°398 – La Ferté-Saint-Aubin » et « n°399 – Châteauneuf-sur-Loire » de la carte géologique au 1/50 000 du département du Loiret[7][8] et leurs notices associées,.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 35,94 km[11][Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 35,71 km[8]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 43 mètres. L’altitude du territoire varie entre 99 m et 142 m.
Le Bourillon, sous-affluent de la Loire par le Cosson et le Beuvron traverse sur le territoire de la commune.
Vienne-en-Val possède un climat tempéré de type océanique dégradé se caractérisant par des hivers doux (3 à 4 °C) et pluvieux, et des étés frais (16 à 18 °C) et relativement humides. La température moyenne est de 10 à 11 °C sur l’année.
Gaulois Vigenna. Hydronyme préceltique Vig = cours d’eau, et suffixe gaulois enna.
Vienna vico, 954-972 (Actes de Lothaire, n° 33, p. 81) ; Res autem quas jam dictus imperator Karolis eidem reddidit aeclesia Vienna, 9 juin 979 (Actes de Louis V, n° 69, p. 170) ; Vienne en Val, avril 1501 (Archives Nationales-JJ 235, n° 202, fol. 57 v°) ; Vienne, 1740 (Bibliothèque Municipale d’Orléans, Ms 995, fol. 258) ; Vienne en Val, XVIII s. (Carte de Cassini).
Val = Val d’Orléans, région naturelle.
Commune d’origine gauloise. Son ancien nom est Vienna Vico, du nom d’un ancien lieu de pèlerinage où l’on invoquait particulièrement Jupiter[réf. nécessaire], devint Viennavicus et enfin Viennes puis Vienne-en-Val.
Une gare des tramways de Sologne se situait dans la commune.
Devant le parvis de l’église se trouvent les vestiges d’une église du Haut Moyen Âge qui réutilise des éléments d’édifices antiques. Vienne-en-Val était sans doute une agglomération secondaire antique sur la voie reliant Orléans à Sancerre. Des vestiges lapidaires antiques sont exposés dans le musée de Vienne-en-Val.
Vienne-en-Val est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction d’Orléans, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18][19].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (54,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,3 %), forêts (42,3 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), zones urbanisées (3,5 %), prairies (2 %).
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
La commune prescrit l’élaboration d’un plan d’occupation des sols en octobre 1980. Le document est approuvé en mai 1992 puis modifié à plusieurs reprises,.
La loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains du 13 décembre 2000, dite loi SRU, complétée par la loi urbanisme et habitat du 2 juillet 2003, marque une évolution de la planification urbaine en créant notamment les plans locaux d’urbanisme (PLU), vecteurs de projets de territoire, appelés à se substituer progressivement aux plans d’occupation des sols. Le PLU contient deux éléments nouveaux par rapport au POS : le plan d’aménagement et de développement durable (PADD), qui exprime le projet de la ville par des orientations générales en matière d’urbanisme, de développement, d’équipement et de préservation de l’environnement et les orientations d’aménagement et de programmation (OAP) qui correspondent à des zooms qui peuvent porter sur des quartiers ou secteurs à mettre en valeur, réhabiliter, restructurer ou aménager, ou sur l’aménagement d’un espace public, etc. Dans ce cadre la commune prescrit l’élaboration d’un PLU en octobre 2001. Le document est approuvé le 5 novembre 2004, puis révisé en décembre 2009 et mars 2013. En 2015, les sept communes de la communauté de communes Val Sol, dont Vienne-en-Val est membre, décident, dans un souci de solidarité et de cohérence en termes d’aménagement du territoire et pour rendre leurs documents d’urbanisme compatibles avec les dernières lois en vigueur, de confier à la communauté de communes l’élaboration d’un PLU intercommunal. Le conseil communautaire, après avoir organisé le 11 décembre 2015 la conférence des maires destinée à arrêter les modalités de collaboration entre la communauté de communes et les communes membres, décide le 15 décembre 2015 de lancer la procédure[23].
La commune est membre du Pays Sologne Val-sud, qui regroupe 29 des communes de la Sologne du Loiret. Ce pays impose un certain nombre de contraintes, que les documents d’urbanisme doivent respecter en étant compatibles avec les documents d’orientations du Pays. Le pays a notamment élaboré une charte architecturale et paysagère en 2005.
En 2012 les Pays Forêt d’Orléans Val de Loire, Loire Beauce et Sologne Val Sud sont les seuls territoires du département du Loiret ne disposant pas de schéma de cohérence territoriale (SCoT). Compte tenu de l’intérêt de cet outil pour l’avenir des territoires, les élus de ces pays décident d’engager une démarche d’élaboration de SCOT. Le comité syndical du Pays Sologne Val Sud se prononce majoritairement en mars 2013 pour prendre la compétence SCoT dans ses statuts. Les quatre communautés de communes qui composent le Pays délibèrent en avril et mai 2013 pour confier « l’élaboration, la gestion et le suivi du SCoT » au Pays Sologne Val Sud. Les compétences sont modifiées en ce sens en juin 2013[26], le périmètre du SCOT est arrêté par le préfet le 10 octobre 2013. Après étude et concertation de 2014 à 2017, le document doit être approuvé en 2018.
La commune est traversée par quatre routes départementales : une route à grande circulation (la RD 14) et trois routes à faible trafic (les RD 13, 7 et RD 12).
La RD 14, qui relie Saint-Hilaire-Saint-Mesmin à Tigy et traverse le bourg d’est en ouest, est une route à grande circulation et supporte en 2014 un trafic de 4 974 véhicules/jour dans la traversée de la commune[29]. La RD 13 (1 334 véhicules/jour) constitue une limite sépartaive avec la commune de Marcilly-en-Villette et relie Sandillon à Vannes-sur-Cosson. La RD 7 (167 véhicules/jour) relie le bourg à Jouy-le-Potier. La RD 12 (301 véhicules/jour) relie Jargeau à Sennely[29].
Complétant ces voies, la commune est sillonnée de plusieurs voies communales et chemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.
La commune est desservie par la ligne n°7A du réseau Rémi, le réseau interurbain de transport par autocar du Conseil départemental du Loiret. Cette ligne, qui relie Sully-sur-Loire – Tigy – Jargeau – Orléans, propose un nombre de dessertes variable en fonction des jours ouvrables de la semaine[31]. Des correspondances SNCF sont assurées dans la gare d’Orléans.
La commune de Vienne-en-Val est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de la Loire ou de ruisseaux), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique. Elle est également exposée à un risque technologique : le transport de matières dangereuses. Entre 1985 et 2016, neuf arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune de Vienne-en-Val dont trois pour des inondations et coulées de boue et six pour des mouvements de terrains[33].
La Loire est à l’origine des dégâts les plus importants sur la commune en cas de crue majeure. Les crues historiques sont celles de 1846, 1856, 1866 et 1907. Aucune crue n’a atteint depuis 1907 les hauteurs atteintes lors de ces événements catastrophiques.
La zone inondable de la commune de Vienne-en-Val couvre une surface de 498 hectares, soit 14 % du territoire communal. Cette zone se répartit en 448 ha en espaces agricoles, 1 ha en eau, 40 ha en espaces naturels et 9 ha en surfaces urbanisées. 102 personnes résident dons cette zone[36]. Elle fait partie du val d’Orléans qui s’étend sur 33 km de longueur, du hameau de Bouteille à l’amont au confluent du Loiret à l’aval. Ce val est protégé par une levée en terre, la levée d’Orléans, de 45 km de longueur. Il est inondé par le remous de la Loire dans la confluence du Loiret dès les premières crues simulées[38]. Cette levée a été renforcée sur toute sa longueur. Le niveau de protection historique est celui visé par la construction du déversoir de Jargeau, aménagé à la fin du XIX siècle à l’emplacement des brèches qui s’étaient produites en 1846, 1856 et 1866 et conçu initialement pour fonctionner au-delà de la cote de Loire à l’échelle d’Orléans proche de 6 m (crue de 1825, n’ayant pas occasionné de brèches). Les lignes d’eau en crue ont toutefois beaucoup changé depuis du fait de l’évolution morphologique du lit de la Loire, conséquence des ouvrages de navigation qui ont été réalisés au XIXe siècle et de l’extraction massive de matériaux en deuxième partie du XX siècle. Le déversoir ne remplit donc plus sa fonction de protéger la levée d’Orléans des surverses et il ne permet plus de définir l’objectif de protection du système d’endiguement[39].
L’analyse menée dans le cadre de l’étude de danger des digues, montre qu’aujourd’hui, le niveau de protection apparent de la levée est associé à une crue de période de retour d’environ 200 ans, soit une hauteur d’eau à l’échelle d’Orléans estimée à 5,75 m. Les zones de surverses probables mises en évidence se situent de l’amont vers l’aval, à Guilly, Tigy et Saint-Denis-en-Val (lieu-dit de Château Lumina)[40]. Par ailleurs, ces études montrent aussi que des défaillances avant dépassement des ouvrages sont probables, en particulier à Guilly, Tigy et Saint-Pryvé-Saint-Mesmin. Pour le secteur de Guilly, la probabilité de rupture n’est plus négligeable dès la crue de période de retour de 70 ans, soit une cote d’environ 4,60 m à l’échelle d’Orléans. Cette cote définit le niveau de sûreté actuel de la digue d’Orléans et correspond au seuil de déclenchement du plan d’évacuation massive de l’agglomération d’Orléans en cas de crue.
Le risque d’inondation est pris en compte dans l’aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du val d’Orléans – val amont, approuvé le . Deux documents permettent de définir les modalités de gestion de crise et d’organisation des secours : au niveau départemental, le Dispositif ORSEC départemental spécialisé déclenché en cas d’inondation de la Loire, le plan ORSIL[Note 6], et au niveau communal le plan communal de sauvegarde.
Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.
Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « faible » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Quelques zones sont en aléa « moyen » (le centre du bourg, Francville, le Gué Robert, les Quatre Vents, le Grand Étang)[45].
La paroisse de Viennes acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[47]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.
Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n’a affecté la commune depuis sa création.
La commune est membre de la Communauté de communes Valsol depuis sa création le jusqu’au .
À la suite de la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République, promulguée le , le Schéma départemental de coopération intercommunale du Loiret est arrêté le 30 mars 2016. Il aboutit à l’absorption de la Communauté de communes Valsol (à l’exception de Vannes-sur-Cosson par la Communauté de communes des Loges.
Au-delà du maire, premier magistrat administrant la commune, les personnalités élues dont le mandat est relatif à une collectivité à laquelle est rattachée la commune de Vienne-en-Val et représentant donc le territoire communal au sein de chacune de ces collectivités sont les suivantes :
Sous l’Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Viennes était rattachée sur le plan ecclésiastique à l’ancien diocèse d’Orléans, sur le plan judiciaire au bailliage d’Orléans , sur le plan militaire au gouvernement d’Orléans et sur le plan administratif à la généralité d’Orléans, élection d’Orléans,.
La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Viennes est alors incluse dans le canton de Tigy, le district d’Orléans et le département du Loiret.
La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[58]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[60], puis l’acte III en 2012-2015.
Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Vienne-en-Val aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.
La commune de Vienne-en-Val est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.
Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Vienne-en-Val, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[75]. Il est composé de 19 membres. L’exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil. Pascal Semonsut est maire depuis 2014.
En 2016, la commune est membre du SICTOM de la région de Châteauneuf-sur-Loire, créé en 1976. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[79]. Un réseau de dix déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche est située sur la commune de Tigy. L’élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées par le SYCTOM de Gien-Châteauneuf-sur-Loire qui comprend un centre de transfert de déchets ménagers et un centre de stockage de déchets ultimes (CSDU) de classe II à Saint-Aignan-des-Gués ainsi qu’une usine d’incinération des ordures ménagères à Gien-Arrabloy[79].
Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes des Loges en application de la loi NOTRe du [81].
Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. Au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal sont assurées par la commune elle-même[83]. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l’exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[84][85].
La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est assurée par la commune elle-même[87]. La commune est raccordée à une station d’épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 1 700 EH, soit 400 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d’épuration biologique dit « à boues activées ». Son exploitation est assurée par Vienne en Val,.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. En 2016, la communauté de communes des Loges assure le service public d’assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[91][92].
Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.). L’observatoire national des services d’eau et d’assainissement publie la description actualisée des services publics d’eau potable et d’assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[94]. Le prix au m est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE).
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[107].
En 2020, la commune comptait 1 938 habitants, en diminution de 0,72 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
La commune est située dans l’académie d’Orléans-Tours et dans la circonscription de Châteauneuf-sur-Loire. Elle possède une école maternelle (Louis Didier Jousselin) et une école primaire (de l’ancienne gare).
Les enfants de la commune sont scolarisés au collège de Tigy.
La commune compte plusieurs associations sportives :
La commune compte un centre de loisirs, une garderie périscolaire et une crèche, un bureau de poste, un cabinet médical (infirmier, pharmacie, kinésithérapeute), une caserne de pompiers, plusieurs commerces (boulangerie, boucherie, charcuterie, bar-tabac, coiffeur, esthéticienne, supermarché, garages et carrosserie), des restaurants et des chambres d’hôtes.
Deux personnalités sont décédées dans la commune :
Plusieurs manifestations sont organisées de février à novembre :
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