Comment trouver une fuite d’eau sur un toit dans le Loiret ?
Lorsque vous avez une fuite d’eau sur votre toit, il est important de trouver l’origine et de la réparer rapidement afin d’éviter des dégâts plus
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Vitry-aux-Loges est une commune française, située dans le département Loiret en région Centre-Val de Loire.
La commune de Vitry-aux-Loges se trouve dans le centre du département du Loiret, dans la région agricole de l’Orléanais et l’aire urbaine d’Orléans[2]. À vol d’oiseau, elle se situe à 27,1 km d’Orléans, préfecture du département, et à 9,0 km de Châteauneuf-sur-Loire, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Châteauneuf-sur-Loire[2].
Les communes les plus proches sont : Seichebrières (3,2 km), Combreux (3,3 km), Sury-aux-Bois (6,3 km), Ingrannes (6,9 km), Sully-la-Chapelle (7,4 km), Châteauneuf-sur-Loire (9 km), Saint-Martin-d’Abbat (9,3 km), Nesploy (9,3 km), Fay-aux-Loges (9,4 km) et Châtenoy (10 km).
Vitry-aux-Loges est située entre deux massifs de la forêt d’Orléans : ceux de Lorris et d’Ingrannes.
Le canal d’Orléans traverse le sud du village.
La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l’ère géologique la plus récente sur l’échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d’années. La formation la plus ancienne est des marnes et calcaires de l’Orléanais remontant à l’époque Miocène de la période Néogène. La formation la plus récente est des dépôts anthropiques remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°364 – Bellegarde-du-Loiret » de la carte géologique au 1/50 000 du département du Loiret[6][7] et sa notice associée.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 44,06 km[9][Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 43,94 km[7]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 31 mètres. L’altitude du territoire varie entre 107 m et 138 m.
La commune est traversée par le Canal d’Orléans (7,068 km). Le réseau hydrographique communal, d’une longueur totale de 33,35 km, comprend également divers petits cours d’eau dont l’Oussance (4,66 km).
Le canal d’Orléans court sur 78,65 kilomètres entre Orléans, où il débouche dans la Loire et Châlette-sur-Loing, où il rejoint le canal du Loing et le canal de Briare au niveau du bief de Buges. La commune de Vitry-aux-Loges est traversée par le bief de Vitry-aux-Loges (1 340 m), le bief de la Chênetière (3 200 m) et le bief du Gué Girault (2 300 m). Le canal est en plein essor de 1692 à 1793. De 1 500 à 2 000 bateaux remontent chaque année la Loire depuis Nantes pour gagner Paris. Mais avec la concurrence du rail, le trafic diminue puis disparaît complètement au début du 20 siècle. Le canal est déclassé en 1954 des voies navigables et entre dans le domaine privé de l’État[14]. Des promenades dans un bateau pouvant accueillir une centaine de places sont aujourd’hui proposées entre le port d’attache de Pont-aux-Moines et Combleux en aval.
Deux étangs complètent le réseau hydrographique : les étangs de Jarnonce (environ 3,74 ha) et de Morches, tous deux constituant une ZNIEFF[17].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s’engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d’habitats et d’espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L’objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État Membre. les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés,.
Les sites Natura 2000 présents sur le territoire communal de Vitry-aux-Loges sont les suivants :
Le site de la « forêt d’Orléans » s’étend du nord-est de l’agglomération orléanaise jusqu’aux portes de Gien, suivant un arc de cercle d’une soixantaine de kilomètres de long et d’une largeur variant de 2 à 15 km environ. Cet ensemble forestier quasi continu est majoritairement domanial. La forêt domaniale est constituée de trois massifs distincts, de l’ouest vers l’est, les massifs d’Orléans, Ingrannes et Lorris, en périphérie desquels se trouvent d’autres parcelles forestières. La surface globale des trois massifs domaniaux est de 34 500 hectares. D’une surface totale de 32 177 ha, le site est constitué de deux grandes entités couvrant la presque intégralité des massifs forestiers domaniaux d’Ingrannes et de Lorris. Ces deux grandes entités englobent également d’autres parcelles forestières, ainsi que des étangs, en périphérie, de même que la grande « clairière » de Sully-la-Chapelle, Ingrannes et Seichebrières incluse dans le massif d’Ingrannes. Ce site présente un grand intérêt ornithologique notamment avec la nidification du balbuzard pêcheur, de l’aigle botté, du circaète Jean-le-Blanc, de la bondrée apivore, du busard Saint-Martin, de l’engoulevent d’Europe, des pics noir, mar et cendré, de l’alouette lulu et de la fauvette pitchou. Les étangs constituent par ailleurs des sites d’étape migratoire importants pour différentes espèces.
Le site de la « forêt d’Orléans et périphérie » d’une surface totale de 2 226,40 ha, est morcelé en 38 entités. Celles-ci, de tailles variables (de 0,9 à 347 ha), sont disséminées sur les 3 massifs et leurs périphéries. Au cours de la réalisation du document d’objectifs, à la suite des inventaires de terrain, l’absence d’habitat ou habitat d’espèce d’intérêt communautaire dans certaines entités a conduit à la proposition de leur suppression (13 entités concernées, pour une surface totale de 207,90 ha). L’intérêt du site réside dans la qualité des zones humides (étangs, tourbières, marais, mares), la grande richesse floristique, avec un intérêt élevé pour les bryophytes, les lichens et les champignons. 17 habitats naturels d’intérêt communautaire sont répertoriés sur le site qui présente aussi un intérêt faunistique, notamment l’avifaune, les chiroptères, les amphibiens et les insectes. Ce site présente une faible vulnérabilité dans les conditions actuelles de gestion ; il s’agit en effet de parcelles de forêt domaniale dont la gestion actuelle n’induit pas de contraintes particulières pour les espèces citées. Certaines comme le balbuzard pêcheur font l’objet d’une surveillance. D’autres espèces justifieraient un suivi, comme le sonneur à ventre jaune, l’aigle botté, la pie-grièche écorcheur.
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Vitry-aux-Loges comprend quatre ZNIEFF.
Vitry-aux-Loges, par sa position dans la forêt d’Orléans, a constitué un lieu de résidence royale pour la chasse dès l’an mille. En effet, la forêt d’Orléans constitue une forêt royale dans laquelle le fils de Charlemagne, Louis le Débonnaire fut le premier roi à pratiquer la chasse. Après la destruction des logis royaux lors des invasions normandes, un château féodal est alors construit.
Jules Quicherat le présente de la manière suivante:
« C’était une enceinte palissadée, murée peut être, qui renfermait plusieurs maisons de pierre dominées par une grosse tour carrée… Là pouvaient être convoqués et logés les barons du royaume pour les occasions où le roi, mêlant ses affaires au plaisir, voulait présider en ce lieu les assises de sa cour. »
Henri I, roi de France de 1031 à 1060, est mort le au château de Vitry-aux-Loges.
La présence de ce château royal a provoqué l’installation de seigneurs recherchant la protection du roi et aussi dans l’espoir de s’en attirer ses bonnes faveurs. On trouve ainsi trois habitations seigneuriales défensives : la Motte, Le Plessis et Vaux.
Durant le haut Moyen Âge, Vitry-sur-Loges constitue le siège de plusieurs juridictions: une Châtellenie (mars 1268), une Prévôté (fin XIIème) et un Baillage (vers 1184). Les magistrats résidaient dans ces domaines seigneuriaux.
Le , Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménigon, Joëlle Aubron (1959-2006), et Georges Cipriani, membres de l’organisation terroriste Action directe, ont été arrêtés dans la ferme de la Chênetière.
Du bas latin Victoriacus. Gentilice Victorius, formé sur le surnom Victor = le vainqueur, et suffixe acus. Victoriacum, avec un o bref qui disparaît, aboutit régulièrement à Victri, Vitri, Vitré ou Vitray.
Aurelianenses sensim dehinc visitat agros, Victriacum villam jam Pius ingreditur, 818 (Ermoldus Nigellus, De rebus gestis Ludovici Pii, Historiens de France, t. VI, p. 43, vers 275-276) ; Vitriacus, XI siècle (De Ministerio Arnulfi, Pouillé de Sens, p. 323) ; Actum Vitriaci, 1128, 1139 (Archives Départementales du Loiret-H, abbaye de la Cour-Dieu) ; De Vitriaco in Legio, 1190 (Actes de Philippe Auguste, t. 1, p. 380) ; Vitriacum in Logiis, (Mercure de France, , Lettre de saint Louis) ; Vitri, 1299 (Archives Départementales du Loiret-E, seigneurie de Châlette) ; Datum apud Vitriacum in Logio, (Archives Nationales-JJ 58, fo 2, n 23) ; Vitry, (Archives Nationales-JJ 84, no 761, f 378 vo) ; Vitry au Loge, (Archives Nationales-JJ 132, n 12, fo 6) ; Vitry, (Archives Nationales-JJ 166, n 372, fo 243 v) ; Vitry aux Loges, (Archives Nationales-JJ 176, no 242, f 191) ; Vitry, 1740 (Bibliothèque Municipale d’Orléans, Ms 995, fo 267) ; Vitry aux Loges, XVIII siècle (Carte de Cassini).
Selon certains : Loges = nom primitif de la forêt d’Orléans. Clairière de défrichement dans la forêt de d’Orléans.
Le toponyme « Loges » remonte au Moyen Âge, époque des grands travaux de déforestation (surtout entre le XI et XIIIe siècles). Dans la France médiévale, on appelait « loge » une hutte ou une cabane couverte de feuillages qui constituait une habitation temporaire pour des bûcherons, des défricheurs de forêts. Ce pouvait être aussi un abri pour des ouvriers employés à la construction d’un château. On désignait aussi sous ce terme de petits édifices précaires construits par les cultivateurs pour abriter certaines récoltes ou du matériel agricole. Le terme dérive du francique laubja (=cabane), la racine se trouve dans le mot d’allemand moderne Laube (=tonnelle). Dans l’Orléanais on appelle également parfois loge une forêt non continue où certains bois forment des massifs (en entend parler parfois de forêt des loges), mais ce terme vient du francique leadiga (=[forêt] publique, n’appartenant pas au seigneur).
Entre le XI et XIIIe siècles, les seigneurs poussèrent en effet les paysans à défricher forêts et terres incultes afin d’augmenter la production agricole. Les champs gagnés sur la forêt, pleins d’humus, et fertilisés par les cendres des arbres abattus et brûlés, avaient des rendements plus importants que les autres.
La loge ou cul-de-loup est en fait le nom donné à l’habitat précaire des bûcherons qui vivaient sur leur lieu de travail.
On fête d’ailleurs cet héritage durant la foire des loges, où une loge est reconstituée afin que chaque Vitriote puisse se replonger dans l’histoire du village.
Vitry-aux-Loges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction d’Orléans, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[32][33].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (55,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,2 %), prairies (22,9 %), terres arables (12,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %).
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
La commune prescrit l’élaboration d’un plan d’occupation des sols en . Le document est approuvé en novembre 1988 puis révisé en . La loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains du , dite loi SRU, complétée par la loi urbanisme et habitat du , marque une évolution de la planification urbaine en créant notamment les plans locaux d’urbanisme (PLU), vecteurs de projets de territoire, appelés à se substituer progressivement aux plans d’occupation des sols. Le PLU contient deux éléments nouveaux par rapport au POS : le plan d’aménagement et de développement durable (PADD), qui exprime le projet de la ville par des orientations générales en matière d’urbanisme, de développement, d’équipement et de préservation de l’environnement et les orientations d’aménagement et de programmation (OAP) qui correspondent à des zooms qui peuvent porter sur des quartiers ou secteurs à mettre en valeur, réhabiliter, restructurer ou aménager, ou sur l’aménagement d’un espace public, etc. Dans ce cadre le conseil municipal prescrit la révision du Plan d’occupation des sols et sa transformation en plan local d’urbanisme le [35][36].
La commune est membre du pays Forêt d’Orléans – Val de Loire, qui regroupe 32 communes. En 2012 les Pays Forêt d’Orléans Val de Loire, Loire Beauce et Sologne Val-sud sont les seuls territoires du département du Loiret ne disposant pas de schéma de cohérence territoriale (SCoT). Compte tenu de l’intérêt de cet outil pour l’avenir des territoires, les élus de ces pays décident d’engager une démarche commune d’élaboration de SCoT. Le comité syndical du Pays Forêt d’Orléans – Val de Loire décide de prendre le la compétence « élaboration, gestion et suivi du Schéma de Cohérence Territoriale » et, après avis favorable conforme des différentes communes membres (le pour Vitry-aux-Loges), le préfet approuve la modification des statuts en ce sens le . Les trois SCoT sont lancés officiellement et simultanément à La Ferté-Saint-Aubin le [38], l’assistance à maîtrise d’ouvrage étant confiée à un seul bureau d’études. Après étude et concertation de 2014 à 2017, le document doit être approuvé en 2018[40].
La commune est traversée par quatre routes départementales : la RD 9 (1 663 véhicules/jour), qui relie Fay-aux-Loges à Auxy, la RD 10 (2 673 véhicules/jour), qui relie le centre-bourg à Châteauneuf-sur-Loire[41], la RD 137 (594 véhicules/jour), qui le relie à Nibelle, et la RD 143 (254 véhicules/jour) qui le relie le Sully-la-Chapelle.
Complétant ces voies, la commune est sillonnée de plusieurs voies communales et chemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.
En 2016, la commune est desservie par la ligne n 17 du réseau Ulys, le réseau interurbain de transport par autocar du Conseil départemental du Loiret[42]. Cette ligne, qui relie Beaune-la-Rolande à Orléans, propose un nombre de dessertes variable en fonction des jours ouvrables de la semaine. Des correspondances SNCF sont assurées dans la gare d’Orléans. À compter du , la compétence des services de transports routiers interurbains, réguliers et à la demande est transférée des départements aux régions, et donc localement du département du Loiret à la région Centre-Val de Loire, consécutivement à la loi NOTRe du .
La commune de Vitry-aux-Loges est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses. Entre 1989 et 2019, onze arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune : six pour des inondations et coulées de boues et cinq pour des mouvements de terrains[46].
Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d’effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l’inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités.
Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l’objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d’un changement d’humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l’eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l’été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est exposée à un aléa « fort » face à ce risque, selon l’échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[49].
Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante . La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[46].
La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d’itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (la route départementale D2060),.
La paroisse de Vitry aux Loges acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l’Assemblée Nationale puis celui de « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[53]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l’organisation municipale pour qu’un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central.
Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n’a affecté la commune depuis sa création.
La commune est membre de la Communauté de communes des Loges depuis sa création le .
Sous l’Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Vitry aux Loges était rattachée sur le plan ecclésiastique à l’ancien diocèse d’Orléans, sur le plan judiciaire au bailliage d’Orléans , sur le plan militaire au gouvernement d’Orléans et sur le plan administratif à la généralité d’Orléans, élection d’Orléans et au grenier à sel de Châteauneuf.
La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Vitry aux Loges est alors incluse dans le canton de Vitry-aux-Loges, le district de Boiscommun et le département du Loiret.
La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l’action de l’État. La régionalisation fonctionnelle des services de l’État (1945-1971) aboutit à la création de régions[60]. L’acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l’autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes. L’acte II intervient en 2003-2006[62], puis l’acte III en 2012-2015.
Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Vitry-aux-Loges aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l’historique de l’évolution de leurs territoires.
La commune de Vitry-aux-Loges est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire, à la fois circonscriptions administratives de l’État et collectivités territoriales.
Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Vitry-aux-Loges, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste), pour un mandat de six ans renouvelable[77]. Il est composé de 19 membres . L’exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c’est-à-dire pour la durée du mandat du conseil. Jean-Claude Naizondard est maire depuis 2001.
En 2016, la commune est membre du SICTOM de la région de Châteauneuf-sur-Loire, créé en 1976. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire [79]. Un réseau de dix déchèteries, dont une est située sur le territoire communal, accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…).L’élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées par le SYCTOM de Gien-Châteauneuf-sur-Loire qui comprend un centre de transfert de déchets ménagers et un centre de stockage de déchets ultimes (CSDU) de classe II à Saint-Aignan-des-Gués ainsi qu’une usine d’incinération des ordures ménagères à Gien-Arrabloy[79].
Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes des Loges en application de la loi NOTRe du [81].
Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques. Au , la production et la distribution de l’eau potable sur le territoire communal sont assurées par la commune elle-même[83]. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l’exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[84][85].
La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte, est assurée par la commune elle-même[87]. La commune est raccordée à une station d’épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 1 883 EH, soit 460 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d’épuration biologique dit « à boues activées ». Son exploitation est assurée par Vitry-aux-Loges,.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. En 2016, la communauté de communes des Loges assure le service public d’assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[91][92].
Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.). L’observatoire national des services d’eau et d’assainissement publie la description actualisée des services publics d’eau potable et d’assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[94]. Le prix au m est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE).
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[107].
En 2020, la commune comptait 2 269 habitants, en augmentation de 13,73 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
La scierie Barillet exploite la forêt dans le massif d’Ingrannes.
Liste des communes du Loiret
Site officiel
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